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1.3 - UN FILM INSCRIT DANS UN CYCLE D'OEUVRES AUDIOVISUELLES SUR LE THÈME DES PIRATES
BOWEN, l'or maudit des Pirates va constituer, après notre lm LA BUSE, l'or maudit des Pirates (2019), une seconde œuvre audiovisuelle consacrée aux grandes gures de la Piraterie dans l'océan Indien. L'idée à court terme est de produire et de réaliser, sur ces prochaines années, non pas une série, mais un cycle de lms, tous di érents au regard du traitement artistique, de la durée et de la gure historique choisis. Ces créations audiovisuelles s'inscriront cependant dans une même thématique ; la désignation commune pour ce cycle d'oeuvres restant le sous- titre "l'or maudit des Pirates".
Notre intérêt se portera sur des Pirates ayant commis leurs déprédations dans l'océan Indien et se trouvant, dans la mémoire collective et les légendes, liés à l'imaginaire d'un trésor : La Buse, John Bowen, Henry Avery, Chistopher Condent, William Kidd. L’initiative est celle de produire à chaque fois un documentaire à grand potentiel et à destination du grand public (régional, national et international). Nous prenons pour « cible » un public particulièrement hétérogène, pas seulement un public de passionnés. Notre volonté est de convaincre de grands di useurs nationaux et internationaux de collaborer avec nous sur lesdites oeuvres, sans négliger pour autant les di useurs des territoires insulaires sur lesquels nous allons être amenés à tourner.
1.4 - LIGNES DE FORCES ET AVANCÉES DU PROJET
Le fait important est que nous avons été directement contactés, en 2018, par l'archéo- logue Jean Soulat, en charge de la mission scienti que sur l'épave du "Speaker" à l'île Maurice. Monsieur Soulat, bien informé de notre production du moment, à savoir le documentaire- c- tion LA BUSE, l'or maudit des Pirates (dont les visuels illustrent le présent dossier), nous a ainsi proposé de produire un nouveau lm sur cette même thématique et autour de sa prochaine mission archéologique. Il nous alors parlé de cette épave pirate vieille de 3 siècles gisant au fond des eaux mauriciennes et il nous a parlé de Bowen... Il va de soi qu'on ne peut pas long- temps rester insensibles, en tant que créateurs passionnés par le sujet, avec les intentions artis- tiques qui sont les nôtres, face une telle opportunité. Le charme de cette idée, si l'on peut dire, a immédiatement agi.
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INSTANT DU TOURNAGE DU DOCUMENTAIRE-FICTION "LA BUSE", SEPTEMBRE 2018
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