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une fêteont dit oui. Le lendemain, mon père m’a dit que nous devions y aller, et je n’ai jamais assisté à la fête où mes amis m’attendaient, j’ai vu que ma mère pleurait. Je disais ne pleure pas maman, j’irai bien là-bas, et je pourrais aussi vous rendre visite et je vous apporterai des cadeauxa mère a dit OK et elle m’a souhaité bon voyage.J’ai entendu un klaxon dehors, j’ai vu à l’intérieur de la voiture, c’était ma cousine qui venait nous chercher. Nous sommes enfn arrivés à l’aéroport sain et sauf. Après nous sommes allés à l’immigration.Un monsieur a dit à mon père qu’il avait besoin d’un autre papier pour entrer dans l’avion. Mon père a dit j’ai tous mes papiers, monsieur, calmez-vous vous n’avez pas tous les papiers à la main. Mon père ne cessait de penser, penser et de penser. Finalement, mon père m’a dit qu’on allait rester une autre semaine. Ma mère ne savait pas que je resterais quelques semaines, donc, quand je suis allée chez elle, elle était heureuse de me voir. Ces se-maines ont passé vite, et clairement je ne suis pas allée à l’école, parce que je suis restée avec ma mère.Le jour du départ, nous avons pris l’avion, mon père était efrayé, mais je ne l’étais pas. J’ai dormi et mon père aussi. Au début, nous sommes allés à Toronto, et nous y sommes restés quelques jours. Plus tard, nous avons récupéré nos afaires et nous sommes allés à Montréal. Je suis heureuse ici parce qu’il n’y a pas de violence et dans mon pays, il y en avait. En plus, je me suis fait beaucoup d’amis. Je reste en contact avec ma mère, ma famille et mes amis.Je suis heureuse où je vais.Jazmin Marte Garcia