Page 4 - Réflexions, printemps 2021

qu’à Québec. Or, les 16 places se sont en- volées rapidement pour l’un comme pour l’autre et nous avons dû décevoir plusieurs personnes. Pour ce qui est de Montréal, la tradition est établie depuis longtemps : ce séminaire est offert à chaque année. Cepen- dant, à Québec il ne revient généralement qu’aux trois ans ou plus. Étant donné le nombre de psychothérapeutes de la région de Québec qui souhaitent y participer, nous considérons la possibilité de le remettre au programme dès 2018-2019. Nous pourrons en dire davantage dans le bulletin Réflexions de l’automne prochain.
Une XVIe promotion de 3e cycle ?
Rappelons que le 3e cycle est ouvert à tout diplômé du 2e cycle du CIG ou à tout psy- chothérapeute ayant acquis une formation en PGRO dans l’un des instituts européens aptes à dispenser cette formation. Il faut également avoir complété le séminaire sur la relation d’objet ou son équivalent.
Le programme est fortement contingenté, n’offrant que 12 places à intervalles de deux ans. Aussi la sélection s’avère passablement complexe. Les personnes qui envisage- raient de poser leur candidature peuvent se renseigner sur le programme à : http:// www.cigestalt.com/activites/20/formation- clinique-le-troisieme-cycle/
L’AGA de l’Asso-PGRO
C’est le 5 juin prochain que l’association qui re- groupe les PGRistes tiendra sa pre- mière assemblée générale annuelle. Pan- démie oblige, ça se passera en ligne, sur la plateforme Zoom, de 15h à 19h, heure de France), donc de 9h à 13h, heure du Qué-
bec.
Les temps détaillés de la rencontre seront
bientôt communiqués aux membres. Entre-
temps, on peut s’inscrire en communiquant à : assopgro@gmail.com
mais vous n'êtes pas encore inscrit.e à l'AG du 05 juin 2021 ? Nous espérons vous y voir nombreux !
Les 45e et 46e promotions bouclent leur
parcours
À la joie de l’itinéraire bouclé, à la satisfaction de constater l’atteinte des objectif se mêle
bien sûr une certaine tristesse, celle de ne pouvoir être physiquement coude-à-coude pour franchir le fil d’arrivée. Surtout que, sur le plan de la Covid, cette année en a été une de montagnes russes ! Parfois on pou- vait espérer que le dernier des 4 regroupe- ments se tiendrait en salle, dans les nou- veaux locaux du CIG. Les vaccins arri- vaient... mais les variants aussi. Finir ainsi un parcours où, pendant 2 ans, on a été en- semble dans les hauts et les bas, on s’est soutenus les uns les autres autour de la ma- chine à café, dans les lunchs au resto, ou ri- golé à l’apéro après la journée, ça ne pou- vait faire autrement que de créer des senti- ments partagés. Qu’à cela ne tienne, les choses n’en resteront pas là. Déjà émergent des idées de conventum à réaliser dès qu’il sera possible de... se faire la bise sans craindre pour sa vie !
Chacun des diplômés était déjà un profes- sionnel dûment autorisé à l’exercice de la psychothérapie au moment de son admis- sion dans le programme. La loi pose cer- taines exigences de formation continues. Cependant, rien n’oblige à la discipline considérable et au travail sur soi d’un pro- gramme comme le nôtre.
Toutes nos félicitations à chacun pour avoir fait ce choix exigeant et pour avoir complété le programme !