Page 25 - Perdu
P. 25
une poignée d’abrutis a continué à gouverner et à se laisser manipuler comme de vulgaires
marionnettes. Pendant toutes ces années, j’ai voté pour des marionnettes.
une poignée d’abrutis a continué à gouverner
Qu’ont-ils fait de ma voix ?
et à se laisser manipuler comme de vulgaires
Enfant, j’ai appris que dans une démocratie, lmaasroiounvneeratitneest.épéemnadnanatit dtouuptesupcles. années,
Aj’aloirvsolteépeouprledestmsatruiopnidnettes.
et j’en suis l’une de ses incarnations.
Qu’ont-ils fait de ma voix?
Serrés les uns contre les autres,
enfant, j’ai appris Que dans une démocratie,
nous attendons que les maladies
la souveraineté émanait du peuple.
nous foudroient comme des moutons
alors le peuple est stupide
à l’abattoir. Je croyais être forte ;
et j’en suis l’une de ses incarnations.
j’ai vécu dans la mollesse et dans la peur.
serrés les uns contre les autres,
Il n’y a plus aucune poésie dans ma vie,
nous attendons Que les maladies
il n’y a plus que l’attente de la mort. nous foudroient comme des moutons
Ou parfois des envies folles de vengeance.
à l’abattoir. je croyais être forte ;
Une vengeance cruelle
j’ai vécu dans la mollesse et dans la peur.
mais qui me paraît légitime.
il n’y a plus aucune poésie dans ma vie,
il n’y a plus Que l’attente de la mort.
ou parfois des envies folles de vengeance. une vengeance cruelle
mais Qui me paraît légitime.
25