Page 7 - Voyages & groupe n°28

succéder à CroisiEurope
En entreprise
régulière. À ce jour, nous disposons de 55 bateaux et nous en affrétons une di- zaine d’autres en Birmanie, sur la Volga, sur le Gange... Le Danube, le Rhin et le Douro accueillent plus du tiers de nos passagers. Cette année, nous allons dépasser les 300 M€ de chiffre d’af- faires.
VG : Quelle est votre politique de distribution ? CS : Pour les marchés fran- cophones, nous disposons de sept agences de voyages en propre, entièrement dé- diées à nos programmes, à Strasbourg, Paris, Lyon, Nantes, Nice, Bruxelles et Lausanne. À l’étranger, nous nous appuyons sur quatre
“ Globalement, la clientèle des groupes représente plus de la moitié du nombre de passagers.
librée, soit 50% en propre et 50% intermédiés.
VG : Êtes-vous impactés par la faillite de Thomas Cook ?
CS : Nous sommes désor- mais référencés auprès de la plupart des réseaux. Ceux qui nous revendent le plus sont Selectour, Havas, Tour- com... Et Thomas Cook n’en fait pas partie. Mais, nous avions environ 150 clients, ce qui représente plusieurs milliers d’euros de pertes.
VG : Que représente la clientèle des groupes ?
CS : Notre clientèle a beau- coup évolué depuis l’origine de la société. Au départ, elle était à 100% française.
Belle des oceans de croisieurope
”
délégations, à Madrid, Lon- dres, Phnom-Penh et aux États-Unis. Initialement, les agences de voyages se dés- intéressaient du secteur de la croisière fluviale et ce sont les autocaristes qui ont été nos premiers réseaux de distribution. La tendance a évolué depuis et, au- jourd’hui, nous pouvons considérer que notre distri- bution est à peu près équi-
VOYAGES & GROUPE 28 - NOVEMBRE 2019 - 7