Page 117 - PRENOMS
P. 117
Albert (fête le 15 novembre)
Plutôt un peu dans les extrêmes, vous en souffrez. Alors que vous êtes conscient de ces énergies opposées qui vous malmènent, vous avez du mal à régler ce problème. Est-ce parce que vous pratiquez l’art de la sublimation ? Certainement, dans la mesure où vous possédez cette capacité précieuse à tirer feu de tout bois, y compris donc de ce qui pourrait s’apparenter à des défauts ou des excès. Ce qui entraîne ce caractère complexe, c’est tout simplement votre amour de la vie et de tout ce qu’elle offre... Professionnellement, vous êtes précisément attiré par l’hôtellerie, la restauration et tout ce qui concerne la notion d’accueil. D’ailleurs, homme chaleureux, on vous fréquente facilement. Vous êtes d’agréable compagnie, toujours prêt à voyager, votre belle capacité à pratiquer les langues étrangères y contribuant beaucoup. Peu enclin au mariage, lorsque vous y accédez, c’est parce que vous avez été largement sollicité et que les années passant, vous commencez à envisager de poser vos valises. Dans le couple, vous pouvez alors vous laisser conduire par votre partenaire et accepter, de la sorte, son désir d’enfant. Autrement dit, avec l’âge, vous devenez de plus en plus adaptable...
Marguerite (fête le 16 novembre)
Votre vie durant, vous vous acharnez et vous acharnerez à faire cesser les conflits. Jamais lassée par les attitudes revendicatrices de certains, vous cherchez subtilement à apaiser les esprits ! Outre le fait que la spiritualité vous canalise et qu’on peut vous retrouver dans un couvent par conviction, les sciences humaines constituent réellement un axe d’épanouissement majeur pour vous. Vous y ajoutez volontiers un bénévolat bien équilibré. Alors que vous appréciez de voir les traditions se perpétuer, en revanche, vous n’aimez pas ressasser le passé trouble. Au contraire, vous faites tout pour que les événements bougent et avancent favorablement, étant dans une démarche de pardon et croyant fermement que vivre au présent constitue la seule attitude raisonnable que nous ayons à adopter. Les amitiés passent souvent avant l’amour, particularité qui peut aboutir au fait que vous pouvez facilement rencontrer l’élu de votre cœur dans une association à laquelle vous participez. S’il vous semble alors normal, une fois le couple solidement établi, d’avoir des enfants, ceux-ci ne seront jamais idéalisés par vous-même. C’est l’ensemble de l’humanité qui vous intéresse et à laquelle vous vous appliquez à donner équitablement.
Elisabeth (fête le 17 novembre)
Vous aimez l’humanité qui vous le rend bien... Jamais dans le jugement, vous acceptez les individus tels qu’ils sont. Difficile à ce compte de ne pas aimer vous fréquenter. D’ailleurs, vos amis sont nombreux et vos amitiés durables. Très encline aux sciences humaines, la médecine vous passionne, tout comme la recherche ou les professions qui s’en approchent. Il est vrai que peut-être un peu trop tournée vers les autres, vous arrivez jusqu'à vous en oublier et essuyez quelques déceptions. Mais il s’agit-là de votre miroir à vous, bien protecteur, qui vous oppose et vous renvoie les limites à ne pas dépasser : certes, il est nécessaire d’entretenir, et même de développer votre sens altruiste mais à condition toutefois de ne pas vous y perdre ni de vous nier. Ceci dit, jamais dans la rancœur, vous n’avez aucun esprit de vengeance et donc peu de culpabilité. Ce qui vous permet d’avancer sur votre chemin avec des certitudes bien ancrées. Côté amour, le bât blesse un peu car il ne vous est pas aisé de remarquer celui qui vous courtise, trop occupée à servir la cause des plus démunis. Il faut alors – pour que les choses aboutissent – que cet amoureux fasse preuve d’une vraie persévérance... C’est d’ailleurs ainsi que vous le remarquez et qu’il peut vous convenir ! Vous attendez de votre progéniture qu’elle garde le sens de vos valeurs mais si l’éducation donnée n’aboutit pas à ce que vous escomptiez, vous raisonnez tout de même en terme de liberté...