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Maladie chancreuse du pin d’Alep © Bernard Boutte
Galeries creusées par l’hylésine destructeur © Bernard Boutte
Chenilles processionnaires du pin © Jean-Claude Tempier_CEN PACA
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RISQUES SANITAIRES
En forêt des des Bouches-du-Rhône les arbres sont soumis à des des risques sanitaires qui peuvent entraîner parfois leur leur mort mais dont l’ampleur est globalement maîtrisée ou ou ou régulée naturellement Néanmoins comme évoqué précédemment le le le l le le le le le le changement climatique affaiblit les les les peuplements qui peuvent devenir plus sensibles à certains agents pathogènes En voici quelques exemples Crumenulopsis sororia la la maladie chancreuse du pin d’Alep Principalement vectorisée par par par le le le le champignon Crumenulopsis sororia la la maladie chancreuse chancreuse du du pin d’Alep s se se se se se s se traduit par par par par l’apparition de de de chancres ou ou nécroses chancreuses sur les les les rameaux rameaux de de de l’arbre : ces rameaux rameaux se se se se s se dessèchent et et les les les les aiguilles du du du pin pin finissent par par par rougir Cette maladie n’entraîne que rarement la la mort des des individus atteints mais affaiblit les les les peuplements de de de pin pin d’Alep Tomicus destruens l’hylésine destructeur L’hylésine destructeur est est un coléoptère dont les les les larves se s développent en en creusant des des galeries galeries dans dans dans les les les les troncs de d de de de pins durant durant l’hiver puis dans dans dans les les les les rameaux durant durant l’été Les galeries galeries creusées par l’hylésine l’hylésine perturbent la la la la la circulation de de de de la la la la la sève dans dans dans l’arbre dont dont la la la la la croissance est est ralentie et dont dont les les les pousses rougissent La présence de de de d l’hylésine l’hylésine entraîne parfois la la la la la mort des individus infestés infestés Dans d’autres d’autres cas les arbres infestés infestés sont très affaiblis par par par l le le l coléoptère et dépérissent par par par l’infection d’autres d’autres agents pathogènes Taumetopoea pityocampa la processionnaire du pin Facilement visible dans le le le le le le paysage lorsqu’elle est est présente la chenille processionnaire du pin est est bien connue car ses ses ses soies urticantes pouvant entraîner des nécroses sont dangereuses pour les les hommes et les les les animaux Il s’agit de de de la la chenille chenille d’un d’un papillon de de de nuit dont la la femelle pond durant l’été une centaine d’œufs dans dans dans le le le le le le le houppier d’un d’un pin Les chenilles passent l’hiver dans dans dans un un un un cocon puis se se se dirigent au printemps en en en en en en en en en en en procession procession dans dans dans le le le le le le le le sol où elles se se se transforment en en en en en en en en en en en papillon La processionnaire du pin affaiblit les les les les arbres qu’elle occupe en en en en en en en en en en en en en en en en en en consommant les les les les aiguilles mais n’entraine que que que rarement la la la mort des individus touchés Conséquence du du du réchauffement climatique la la la processionnaire du du du pin voit depuis ces ces dernières années son aire aire de de de de de de répartition s’étendre de de de de de de plus plus en en en en en plus plus au au au Nord de de de de de de la la la France où elle n’était auparavant pas présente Des programmes de de de de de lutte contre la la la la la chenille processionnaire du pin par par la la la la la pose de de de de de nichoirs destinés à favoriser l’installation des des populations de de de de de d mésanges qui les consomment ont ont été mis en en en en place dans le département