Page 65 - DOUBLE SENS
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            Il y a beaucoup de place...Pour Tout, pour Rien, c’est inépuisable.
Quelle chance, Il y a tant de choses qui ne s’ap- prennent pas.
Instants tannés sous les soleils. Les murs murent.
Tu es las, pas moi, je suis ailleurs. Ne pas vivre contre son temps.
Je me flagelle pour poursuivre, heureusement sur la croupe de Pégase thanks to him.
La note était salée, ils se sont sucrés.
L’opacité de la transparence en politique, du grand Art.
Parfois, c’est la fin du monde, Et puis, va sa- voir, tout s’arrange, ouf.
Es-tu prêt, de moi? Alors, émois de nous.
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