Page 25 - La petite auto française à Paris
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 Luc arpentait l’arrière-boutique. « Maman est tellement impossible ! », rugitil, donnant un coup de pied à un pot de fleurs sur son passage. Deuzy fut effrayée lorsqu’il se fracassa.
« Je reste ici cette nuit », dit-il, grimpant sur le siège arrière de la voiture en fermant les yeux.
Deuzy soupira « Bonne nuit mon ami. Les choses vont s’arranger demain matin, tu verras. »
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