Page 41 - Livre 18 Mme Geneviève

Alors, on continue notre recherche quand je vois un magasin très sombre où peu d’ampoules fonctionnaient. Je demande à la jeune fille si ses parents fréquentent ce magasin et elle me répond oui.
Je sens qu’elle n’est pas sûre de ce qu’elle dit, mais je décide quand même d’entrer dans cette place étrange. En entrant, je vois Adriana paniquer, quand, tout d’un coup, la porte ferme derrière nous. Je lui demande de se calmer et de ne pas faire de bruit. Je décide de frapper sur la porte en criant dans l’espoir que quelqu’un nous entende. Après des heures et des heures à essayer d’avoir, on abandonne. Les larmes qui coulent de ses yeux bleu pâle me donnent envie de pleurer avec elle. Soudainement, j’entends un téléphone sonner. Je cherche dans mes poches pour voir si c’est moi qui a le téléphone, mais ce n’est pas le cas. Alors, je cherche dans le magasin. C’est alors que je trouve un téléphone jaune pâle sur une table bleue. J’ouvre le téléphone et j’appelle ma mère. Alors, elle décide d’appeler la police pour qu’ils viennent ouvrir la porte. Lorsqu’ils arrivent, ils nous demandent de reculer, car ils vont défoncer la porte. Pendant ce temps, Adriana me fait un câlin et me remercie. On entend un gros « BOOM! » On sursaute en réalisant qu’ils ont ouvert la porte. C’est à ce moment qu’Adriana voit ses parents et court pour leur faire un câlin. Après quelques instants, ils viennent me remercier.
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