Page 85 - Livre 23-12 Yanick Martel-Jean Lemonde
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C'était écrit de ne pas rentrer, mais vu que je n’écoute jamais, je suis rentré. Quand je suis rentré dans l’école abandonnée, j’ai vu une suite de casiers devant moi. Du coup, il y avait un casier à moitié ouvert avec de la lumière qui clignotait devant moi. J’avais un peu peur de l’ouvrir alors j’ai décidé de partir. Du coup, j’ai entendu quelqu’un qui me chuchote : « Viens ici, j’ai une récompense si tu ouvres ce casier. » Quand j’ai entendu cette phrase, j’ai couru le plus vite que je pouvais et quand j’ai ouvert le casier, j’ai vu un gros portail. J’ai couru vers la sortie, car je ne voulais pas mourir, mais le portail m’a aspiré et je suis rentré dans le portail.
Quand je suis rentré, j’étais en train de tomber du ciel, mais endormie. Je tombais et quand je me suis réveillé, j’ai vu que j'avais un parachute sur mon dos. Je ne trouvais pas la corde qui mettais le parachute. J'ai cherché la corde pendant genre deux minutes et je l’ai trouvé. Quand j'ai atterri, j’étais tout mêlé dans mon parachute. Quand j’essayais de sortir, il y avait quelqu’un qui m’a aidé. C’était un vieux monsieur et il m'a dit : « Allô, moi mon nom c’est Robert Caron, et toi ? » « Gustavo. » Il ma amener pour faire une découverte du village.
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