Page 61 - Livre 23-7 Martin Lacasse-Du parc

Les deux m’ont entouré d’un filet gluant qui n’était pas du tout appétissant cette fois. Les deux personnes ont commencé à se disputer dans une drôle de langue tout en marchant et je ne comprenais pas du tout leur langage. Ce qui était sûr, c’est qu’elles n’étaient pas d’accords et que moi j’avais peur. Au bout de quelques minutes, je me suis retrouvé dans un immense château, les deux étrangers m’ont emprisonné. En regardant à gauche et à droite, je me suis rendu compte que ce n’était pas une prison, mais une chambre et une chambre de fille en plus. Là, je me suis rendu compte que j’étais malheureusement ou heureusement emprisonnée dans la chambre de la princesse.
Soudain, la porte s’ouvrit, et j’entendit une voix qui m’était familière qui m’appelait : Rym, Rym, Rym. C’était la voix de Inès, ma petite sœur. J’ai commencé à crier moi aussi : « INÈS ! INÈS ! » Et la personne en beurre m’a poussé une deuxième fois et je me suis retrouvée encore une fois au sol et quand j’ai ouvert les yeux, je fus soulagée. Ma sœur Inès était au-dessus de moi, mon père et ma mère aussi. Tous me racontaient que finalement j’étais tellement concentrée sur ma sœur que je n’ai pas vu une immense pierre sur laquelle j’ai trébuché puis je suis tombée au sol et pendant quelques secondes, je me suis évanouit.
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