Page 29 - Livre 32 Laurence Phillipson
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Puis, une personne arrive. Il est revêtu de noir et il a les mains dans les poches. Il a la peau si blanche qu’on aurait dit de la neige. Il avait des souliers à crampons Adidas Predator noir où l’on ne pouvait même pas reconnaitre le logo d’Adidas.
Je pris la balle et je tente un tir de loin vers le but, mais tout-à-coup, il fit un saut périlleux et bloque le tir avec ses pieds. Je fus tellement surpris que mes yeux devinrent ronds comme une balle de tennis. Je vais vers la gauche et je remarquai qu’il avait de la difficulté à me prendre la balle du côté gauche, puis il se place pour me prendre la balle du côté droit. Il pris la balle et tira du milieu du terrain et marqua. Fabio et moi fûmes surpris de ce tir si puissant que nous avons entendu le bruit de la balle dans le filet. Même mon petit frère qui était si bon gardien de but n’a pas pu arrêter le tir.
Je retente de faire le même trajet et d’aller à la gauche. Puis je vis Fabio se démarquer en même temps que l’homme vient vers moi pour mettre la pression pour me prendre la balle. Je tentai une passe en profondeur et il prit le ballon et tira, puis il marqua ! L’homme partit parce qu’il était en colère. L’homme partit, moi et Fabio étions contents. Soudain, il revient avec une autre personne presque identique à lui !
Mathias Steller Gonzalez
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