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Un concept revisité
Radioscopie
>Enquête Clubs. Fini le temps du Darla Dirladada...
Aujourd’hui, les clubs jouent sur une autre gamme ! Le concept a évolué, séduisant de plus en plus de clients, y compris les groupes. Au point de devenir un marché très porteur et surtout très convoité par les tour-opérateurs, de plus en plus nombreux à se positionner.
Le concept club a le vent en jorque, Sardaigne, Croatie et se déploient aussi sur du ludique
poupe. Aux acteurs histo-
riques (et leaders) que sont le Club Med (créé en 1957), les Framissima (lancés en 1984), les Lookéa (1998) ou encore les clubs Marmara (2000) sont venus s’ajouter à destination du marché français d’autres challengers, à l’exemple des Top Clubs (2013), des Kappa Clubs (2013), des ô Clubs (2014), des Naya Clubs (en 2016) ou encore des Bravo Club (2017).
Un positionnement affirmé, et surtout confirmé d’une année sur l’autre, au regard des ouver- tures annoncées par chacun des tour-opérateurs. A l’exemple de Voyamar et de ses Naya Clubs : cinq au lancement, six en 2017 et huit en cette année 2018, dont le Naya Club Osmine qui ouvrira le 6 mai à Slano en Croatie. Entièrement rénové. Alpitour France et ses Bravo Club : sept à l’hiver 2017/2018, six autres à l’été prochain (Grèce, Crète, Ma-
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Le Kappa Club à Zanzibar..
Djerba). Six nouveaux clubs cet été pour Marmara (Canaries, Crète, Grèce, Tunisie...), trois pour Lookéa (Corse, Ibiza et Kos)... Le produit séduit la clientèle fran- çaise, mais la concurrence se fait de plus en plus rude. D’où l’intérêt de se démarquer. Et pas seule- ment en mettant en avant le rap- port qualité/prix, même s’il peut faire la différence. Le choix des animations (voire même les ex- cursions hors du club comprises) et des destinations peut aussi jouer un rôle prépondérant dans le choix final des clients.
Il n’y a pas de clubs sans animations !
Les animations. Le nerf de la guerre ! Parce qu’elles constituent la base même du concept club. Et celles-ci sont fort logiquement très nombreuses et variées. Et même si elles se focalisent lar- gement sur des activités sportives (terrestres et nautiques), elles
(spectacles en soirée, jeux), de la détente (fitness), voire des cours de langue. Des animations majoritairement gratuites, com- prises dans le tarif, mais aussi parfois payantes, et qui chez cer- tains tour-opérateurs, sont pro- posées selon deux modes, actif ou doux. La différence se jouant généralement sur le nombre des animations organisées dans la journée.
C’est un choix qu’a fait, par exem- ple, en cette année 2018 Top of travel, qui pour ses 20 ans, a souhaité revoir son offre clubs. « Nous avons segmenté notre offre en deux catégories, explique Nathalie Benazech, recrutée spé- cialement par le tour-opérateur pour travailler sur la définition du concept clubs, après être pas- sée chez Jet Tours. Nous voulions clarifier la promesse Top Clubs, en refondant notre concept basé sur nos forces ». Ainsi sont nés les Top Clubs Cocoon (plus soft)