Page 59 - Voyages & Groupe N°3
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                  s, ni représentés dans le to”urisme
Initiative
  ter : « mais, nous ne voulons
pas d’une direction au niveau
national car nous n’avons pas
les compétences su santes pour
connaître le tissu  n de toutes
les régions ». en n un dernier adhérent basé
                                     aux émetteurs nationaux et in- ternationaux, explique Hervé Rocle. Nous voulons participer activement au maintien de la France à la première place du tourisme mondial ». Avant d’ajou-
Objectif d’ici  n 2017 :
50 adhérents
Les premiers contacts se sont concrétisés rapidement. D’abord en Ile-de-France et en Provence Alpes Côte d’Azur. « Nous sou- haitons mettre en place un relais dans chacune des
12 régions fran-
çaises, ainsi qu’en
Corse et en Outre-
mer a n d’avoir une re- présentativité et une dy- namique nationale », an- nonce Hervé Rocle. Début mars, les adhérents étaient
au nombre de 14 : cinq
en Auvergne-Rhône-Alpes
(dont l’autocariste et voyagiste Philibert), trois en Ile-de-France, un dans le Nord, un dans le Gard, un en Côte d’Or, un dans les Hautes-Alpes, un en Charente et
dans le Vaucluse. Hervé Rocle table sur 50 d’ici la  n de cette année 2017. Des adhérents qui sont soit « un opérateur émetteur de tourisme international qui vend la France » ou « une agence
DMC exclusive ou DMC intégrée dans une agence émettrice », en référence aux statuts déposés (une cotisation an- nuelle de 480 euros a été  xée). Parallè- lement, sept vice- présidents sont déjà en place. Re- joindre la French DMC Association, c’est pour l’adhérent d’avoir la possibilité d’être visible sur le web, « dont le cahier des charges est actuel- lement en cours d’élaboration », indique Hervé Rocle. Sur ce site, et bien évidemment, l’o re des réceptifs sera mise en avant, « sans être un catalogue », pré- vient-il. Un tour-opérateur étran- ger contactera ainsi un (ou plu- sieurs) réceptif pour une de- mande, réceptif qui pourra être référencé par région ou par thé- matique. Mais, la con guration reste encore à dé nir, l’objectif étant que le site soit opérationnel au plus tard à la rentrée 2017 à l’occasion d’IFTM Top Resa/MAP Pro. Par ailleurs, l’adhérent sera amené à participer ou être re- présenté dans les principaux sa-
              En mode slow-travel...
Jusqu’alors, « il n’existait aucune structure permettant à une agence ou un tour-opérateur émetteur in- ternational d’identi er les agences réceptives « vendeuses » dans toutes les régions et niches touristiques pour lui assurer conseils et logistique de ses clients. Cette absence de visibilité de nos services a encouragé les émetteurs internationaux à proposer des o res standards, incluant les principaux sites incontournables en « tête de gondole » dans la vitrine Atout France sans s’intéresser à la très grande diversité des o res disponibles, et donc à proposer des découvertes « plus » en détail et en mode slow travel de toutes les richesses des régions françaises», estime Hervé Rocle, Président de la French DMC Association. Objectif : faire venir « plus » de visiteurs, dans « plus » de sites pendant « plus » longtemps pour y dépenser « plus ». Les institutions françaises et européennes « ont compris que le tourisme réceptif est un générateur de PIB, d’emplois directs et indirects non délocalisables », relève Hervé Rocle. La French DMC Association a également pour ambition d’apporter à tous les réceptifs français une stratégie globale et des moyens mutualisés dans les domaines de l’informatique, de la communication, du juridique... La volonté a chée est d’être en mesure de répondre au plus grand nombre de demandes. Tout en faisant valoir la diversité de l’o re hexagonale en tant « qu’acteurs de développement de l’attractivité des territoires », glisse Hervé Rocle. La nouvelle structure vise à apporter une réelle visibilité internationale qui, selon son président, manque à chacune des agences réceptives françaises. Un travail qui doit se mener en mode collaboratif, mar- tèle-t-il. « Notre initiative a reçu un très bon accueil de la part d’Atout France, du ministère des A aires étrangères et plus récemment de la Direction générale des entreprises qui nous a assuré de son soutien sous une forme restant encore à dé nir », rapportent Hervé Rocle et Patricia Linot, vice- présidente Ile-de-France.
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