Page 12 - BRULONS D'AMOUR POUR LE SEIGNEUR

Ô doux Jésus, combien tu mérites d’être aimé !
Seigneur Jésus, nous voulons te dire merci pour ton amour. Merci de vouloir ouvrir nos esprits, merci de vouloir descendre en nos cœurs si pauvres. Merci encore de nous avoir donné Marie pour maman. Apprends-nous donc à l’accueillir, à nous mettre à son école et toujours lui entretenir de tout ce que nous voulons faire pour ta plus grande gloire. Et s’il arrivait Seigneur que nous négligions nos engagements, nous t’en supplions, remets cela en notre mémoire. Redis-le nous avec douceur, comme toi seul sais le faire : « Mon enfant, souviens-toi de ton engagement ». Apprends-nous donc à partir de là Seigneur, à toujours nous tourner vers Toi et redire sans cesse à notre âme : « c’est Jésus ! A qui irions-nous, parce qu’Il a l’unique parole de vie ». Merci pour tes saints, Merci pour tes archanges, Merci pour le Saint Patriarche Joseph qui est si bienveillant envers tant de misère. Merci Seigneur de nous garder de tous les dangers dont nous n’avons pas conscience. Car en vérité, ce qui nous arrive est bien peu en rapport de tout ce que tu nous as évité. Ô doux Jésus, combien tu mérites d’être aimé ! Combien nous devons croire en ce que tu dis. Alors avec Saint Jean apôtre, nous te disons : « Je crois Seigneur, mais viens au secours de mon peu de foi ». J’espère Seigneur, mais donne-moi à comprendre que chaque action est en vue de la récompense éternelle. Apprends-moi donc à m’y appliquer, à désirer et à répandre partout où tu m’envoies, envers tous les hommes, sans distinction, le bon comme le mauvais, la même charité. Car tu l’as exercé le premier envers moi. Tu l’as dit Seigneur quand j’ai jeté mon péché à ta face, quand j’ai méprisé tes commandements, tu as dit Seigneur, quand j’ai aussi rejeté les paroles si douces de ton cœur, tu as dit Seigneur : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font ». Apprends-moi à habiter cette réalité. Apprends-moi à la désirer pour que purifié, détaché des bassesses terrestres, je puisse m’élever pour contempler ta sainte face. Ô Jésus, je te le dis :
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