Page 25 - Peppone, pop art - nov.2022
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Peppone and double initials
When Walt Disney rst drew Mickey Mouse in 1928, he was called Mortimer Mouse. Walt had already created a mouse as one of several characters whose names would have to be memorable.
That’s what started the great cartoon tradition of double initials to make names easier to remember and bring to life characters by Disney (Mickey and Minnie Mouse, Donald and Daisy Duck, Clarabelle Cow/ Horace Horsecollar etc.), Warner Bros and Looney Tunes in 1933 (Bugs Bunny, Daffy Duck, Porky Pig).
The same goes for American comics: Stan Lee picked up the memory aid in 1941 to make the names of his Marvel creations easy to remember: Peter Parker and his archenemy the Green Goblin (Spiderman), Bruce Banner (Hulk), the Fantastic Four and Silver Surfer followed by Marvel’s competitor DC Comics (Wonder Woman, Lois Lane in Superman).
European comics soon followed suit: the Belgian illustrator Morris, the brains behind Lucky Luke with a love for America, applied the same rule to his two main characters in 1947, Lucky Luke and Jolly Jumper.
So it makes sense for me to use it in my world i.e. with the Grosminet Green Goblin painting opposite.
Peppone et le redoublement des initiales
Quand Walt Disney dessine Mickey Mouse pour la première fois en 1928, il porte le nom de Mortimer Mouse. Déjà Walt imagine sa souris comme un des éléments d’une multitude de personnages dont il va falloir se souvenir des noms.
Ainsi est née la grande tradition dans l’univers du cartoon du redoublement des initiales du nom pour mieux s’en rappeler et qui vont animer la famille Disney (Mickey et Minnie mouse, Donald et Daisy duck, Clarabelle cow/Horace horcecollar et bien d’autres) mais aussi chez la Warner Bros et les Looney Tunes dès 1933 (Bugs Bunny, Daffy Duck, Porky Pig).
Il en est de même dans l’univers des comics américains : Stan Lee avec Marvel reprend en 1941 cette astuce mnémotechnique pour se souvenir du nom de ses créations : Peter Parker et son ennemi juré Green Gobelin (Spiderman), Bruce Banner (Hulk), les Fantastic Four ou le Silver Surfer ainsi que son grand concurrent DC comics (Lois Lane pour L’univers de Superman mais aussi Wonder-Woman).
Puis quelques clins d’œil seront apportés par la BD européenne : en 1947, le dessinateur historique de Lucky Luke, le belge Morris qui n’a jamais caché son « envie » d’Amérique dans son univers de BD applique ainsi la même règle à ses deux personnages principaux que sont Lucky Luke et Jolly Jumper.
Logique que je reprends à mon tour dans mon univers notamment avec le tableau Grosminet Green Goblin ci-contre.
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