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ment, pour effacer certainement mon air niais:
- Plus on est nombreux, plus les émana- tions sont fortes. Les sueurs succèdent inévitablement aux tremblements. Il y va de soi...
- Cessez de philosopher sur les odeurs d’une partouze! réplique Isis, toute éner- vée. La mouscaille ne mérite pas une médaille, tout de même!
- Tu es fâchée ma toute belle? miaule sa photocopie.
- Et si on passait à autre chose! je lance bêtement pour adoucir l’atmosphère.
Et le visage de la belle se met à rayonner d’une joie sereine. Le temps d’une très brève réflexion.
A-t-elle deviné ce que j’attends d’elle? 149