Page 47 - SAHIH MUSLIM
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582. D'après Abou Hourayra (que Dieu l'agrée), l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de
Dieu sur lui) a dit : "Lorsqu'on fait l'appel à la prière, Satan prend la fuite en lâchant des vents
afin de ne pas l'entendre. Une fois le premier appel terminé, il revient et cherche à insinuer
jusqu'au moment où l'on fait le second appel à la prière (al-'iqâma). Il s'en va donc de nouveau
pour ne pas l'entendre; mais une fois ce dernier appel terminé, il retourne et cherche à
insinuer".
Lever les mains jusqu'aux épaules en même temps que le takbîr avant et après
l'inclination : A la prosternation, le cas n'est pas appliqué : "Dieu écoute ceux qui Le
louent"
586. 'Abdallâh Ibn 'Omar (que Dieu agrée le père et le fils) a dit : "J'ai vu l'Envoyé de Dieu
(paix et bénédiction de Dieu sur lui), commençant la prière, élever ses mains à la hauteur de
ses épaules. Il fait de même avant et après l'inclination; mais, pas entre les deux
prosternations".
588. D'après Mâlik Ibn Al-Huwayrith (que Dieu l'agrée), Abou Qilâba transmet qu'il a vu
Mâlik Ibn Al-Huwayrith, en commençant la prière, prononcer le takbîr, puis élever les mains.
Et quand il voulait s'incliner, il élevait les mains; et faisait de même quand il relevait la tête
après l'inclination. Il ajouta que l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui) agissait
de la sorte.
Le takbîr en s'inclinant, en se prosternant et en se levant de la prosternation. En se
levant de l'inclination, on dit : "Dieu écoute mieux ceux qui Le louent"
590. Le récit de Abou Hourayra (que Dieu l'agrée) : Abou Salama Ibn 'Abdourrahmân a
transmit que Abou Hourayra, ayant dirigé la prière des fidèles, prononçait le takbîr chaque
fois qu'il se baissait ou qu'il se relevait. La prière terminée, il disait : "Par Dieu! Je suis celui
de vous qui fait la prière la plus exactement semblable à celle que faisait l'Envoyé de Dieu
(paix et bénédiction de Dieu sur lui)".
594. D'après 'Imrân Ibn Husayn (que Dieu agrée le père et le fils), Mutarrif Ibn 'Abdillâh a dit
: "Je fis avec 'Imrân Ibn Husayn la prière dirigée par 'Ali Ibn 'Abî Tâlib. Celui-ci prononçait le
takbîr à chaque fois qu'il se prosternait; relevait la tête ou se mettait debout après les deux
rak'a. A l'issue de la prière, 'Imrân me prit par la main et me dit : "La prière que vient de nous
faire cet homme est celle de Muhammad" - ou, suivant une variante - "Cet homme vient de
me rappeler la prière de Muhammad (paix et bénédiction de Dieu sur lui)".
Obligation à réciter Al-Fâtiha dans chaque rak'a et si on ne connaît pas cette sourate, on
récite d'autres de ce qu'on connaît du Coran
595. D'après 'Oubâda Ibn Sâmit (que Dieu l'agrée), l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de
Dieu sur lui) a dit : "La prière de celui qui n'a pas récité Al-Fâtiha (le premier chapitre du
Coran) n'est pas valable".
599. D'après Abou Hourayra (que Dieu l'agrée), l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de
Dieu sur lui) a dit : "La prière n'est jamais valable sans la récitation du Coran".
602. D'après Abou Hourayra (que Dieu l'agrée), l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de
Dieu sur lui) se trouvant à la mosquée, un homme entra, fit sa prière, puis salua l'Envoyé de
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