Page 56 - Microsoft Word - méthode Coué
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reste un peu incrédule, car si M. COUÉ ne guérit pas, il aide
puissamment à la guérison, en rendant « du cœur » aux malades, en
leur apprenant à ne jamais désespérer, en les relevant, en les
menant… plus haut qu'eux-mêmes dans des sphères morales que la
majorité de l'humanité, toute plongée dans le réalisme grossier, n'a
jamais entrevues.
Plus j'approfondis la bonne autosuggestion, mieux je comprends la
divine loi de confiance et d'amour que le Christ nous a prêchée : «
Aimer son frère ! » et, en donnant un peu de son cœur et de sa force
morale, l'aider à se relever s'il est tombé, à se guérir s'il est malade.
Voilà bien le « don de Dieu »dont Jésus parlait à la Samaritaine. Voilà
bien aussi, à mon point de vue chrétien, l'application de la bonne
autosuggestion que je considère comme une science bienfaisante et
consolante qui nous fait mieux comprendre qu'étant tous les enfants
de Dieu, nous avons en nous des forces insoupçonnées qui, bien
dirigées servent à nous élever moralement et à nous guérir
physiquement.
Que ceux qui ne connaissent pas ou connaissent mal votre science ne
la jugent pas avant d'avoir vu les résultats qu'elle donne et le bien
quelle fait.
Veuillez me croire votre fidèle admiratrice.
Mme D…, Nancy.
Pensées et Préceptes de M. Coué
L'homme est assimilable à un réservoir muni à la partie supérieure
d'un robinet destiné à l'emplir et à la partie inférieure d'un autre
robinet d'un diamètre un peu supérieur à celui du premier et destiné
à le maintenir plein ou à le vider, selon qu'il est ouvert ou fermé.
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