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VERS L’EXPLORATION DE L’INTERIEUR... Commodité : Lanterne :
construction polygo-
L’installation de bancs et de prie-dieu face à nale, à claire-voie,
la chapelle Saint Sauveur installent un certain constitue un éclai-
confort. Deux salles ont été ajouté de part et rage et une aération.
d’autres de l’abside. Elles servent de sacristie et On parle dans le cas
de salle paroissienne et sont reliées au presbytère. d'une petite lanterne
Elles permettent une commodité au prètre. de « lanternon ».

Solidité :

La structure de l’édifice, en particulier les colonnes
ont été remise en question en 1682, lorsque que
la partie ouest de l’ancienne église s’écroule.
La façade monumental du bâtiment actuel

campanille témoingne de sa solidité ainsi que les colonnes
de marbre rose de l’interieur (en grand nombre,
certainement plus que ce qu’il faut pour tenir)

Bienséance :

lanternon* Une façade harmonieuse symétrique avec un
clocher. Des proportions déterminés par les
ordres d’architecture. Un plan qui reprend la
forme de croix. Son orientation qui se détache
du traditionnel profite d’un seuil qui débouche
au carrefour de deux grands axes de circulations.

Le flanc sud de l’église est visible depuis la cours de l’hôtel de Blossac. On peut y observer
la hauteur des murs qui s’explique par les voûtes en pierre, surmontées d’une charpente.
Le campanile, situé au-dessus du carré de transept fut dessiné par l’architecte
Chocat de Grandmaison, et réalisé en 1741. On peut également l’appeler tour-
lanterne, tour d’édifice majoritairement religieux, comportant des ouvertures par
lesquelles la lumière peut pénétrer dans l’édifice, d’où son nom de « lanterne ».

Elevation Sud

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