Page 34 - ID_Je découvre les plus GRANDS Contes de tous les TEMPS - TOME 8double
P. 34

Découverte de l’Île Mystérieuse


             Dans les profondeurs bleues de l’océan, là où les cartes ne montrent que
             Dans    les  prof ondeur   s  bleues  de  l’océan,  là  où  les  cartes  ne  montr   ent  que
             des espaces vides, une île se dressait, mystérieuse et invitante. Cinq âmes
             des   espaces    vides,  une  île  se  dr es sait,  mys tér ieuse  et  invitante.  Cinq  âmes
                                                         tin
                                                                         ivages, contemplaient av
                                                             sur
                               échouées
                                                                                                         ec
                   ageuses,
                                            par le des
                                                                  ses r
             courageuses, échouées par le destin sur ses rivages, contemplaient avec
             cour
             émerv   eillement    ce  monde    ine xploré.   Il  y   avait  là  un  scientifique  au  sav oir
             émerveillement ce monde inexploré. Il y avait là un scientifique au savoir
             infini, un marin robuste au cœur vaillant, une jeune exploratrice à l’esprit
             infini,  un  mar in  robu s te  au  cœur  vaillant,  une   jeune  e xplor  atr ice  à  l’espr it
                                                                                               Ensemble,
                              amis
                   et
                                                                                 de
                                                                    et
                                                                        pleins
                                              ables,
                                                                                     malice.
                                                       audacieux
                       deux
                                     insépar
             vif, et deux amis inséparables, audacieux et pleins de malice. Ensemble,
             vif,
             ils partageaient un rêve commun : percer les secrets de cette terre ou-
             ils  pa rtageaient    un  rêv e  commun    :  perce  r  les  secr ets  de  cette   terr e  ou -
             bliée.
             bliée.
             Leur av   entur  e débuta    par une    incur sion  dans   la f orêt  luxur iante,  un  laby -
             Leur aventure débuta par une incursion dans la forêt luxuriante, un laby-
             rinthe de verdure où chaque arbre semblait raconter sa propre légende.
             r inthe  de  v erdur  e  où  chaque   arbr  e  semblait   r aconter    sa  propr e  légende.
                                              x
                   chants des oiseaux e
                                                 tiques, les murmur
                                               o
                                                                                                         et
                                                                                       seaux cachés
                                                                                   uis
                                                                         es des r
             Les chants des oiseaux exotiques, les murmures des ruisseaux cachés et
             Les
                                                                                                  une
                                                                                                        at
             le
                      um
                                                                                                          -
             le parfum envoûtant des fleurs sauvages les entouraient, créant une at-
                                         des
                 parf
                                                                                aient,
                               oûtant
                                                                 s
                                                                   les
                                                                        entour
                                              fleur
                                                                                         créant
                           env
                                                       sauvage
                                                    s
                                    tèr
                                                                                       ils découvr
                                                                                                     aient
                                                                                 pas,
                                        e et d’émerv
                                                        eillement. À chaque
             mosphèr
             mosphère de mystère et d’émerveillement. À chaque pas, ils découvraient
                        e de mys
             de nouvelles merveilles : des fruits aux couleurs éclatantes, des fleurs
             de   nouv  elles  merv  eilles  :  des  fr uits  aux  couleur  s  éclatantes,    des   fleur s
                                                                                                        s.
                                 anges, et des animaux qui n’e
                                                                      xis
                                                                          taient nulle part ailleur
             aux f
                    ormes étr
             aux formes étranges, et des animaux qui n’existaient nulle part ailleurs.
                                                                                            du
                                               f
                                                 orêt
             Alors qu’ils avançaient, la forêt s’épaississait, et les rayons du soleil fil-
                                                                   sait,
                                                                                  r
                                                                          et
                                                                              les
                                                       s’épais
             Alor
                                                                sis
                                                                                    ayons
                                                                                                soleil
                     qu’ils
                                                                                                          -
                                                                                                        fil
                                            la
                   s
                             avançaient,
             traient à peine à travers le feuillage dense. Mais leur soif d’exploration
             tr aient   à  peine  à  tr av er s  le  f euillage  dense.  Mais  leur  soif  d’e xplor ation
                        sa
                                                                                     leur cur
                           it à avancer, chaque
                                                                                                          -
             les pous
             les poussait à avancer, chaque découverte alimentant leur curiosité in-
                                                                erte alimentant
                                                       découv
                                                                                                iosité in
             satiable.
                                                                                maîtr
                                                                 régnait
             satiable. C’était un monde où la nature régnait en maître, un sanctuaire
                                                où
                                                                                              sanctuair
                                                                                                          e
                                                                            en
                          C’était
                                                    la
                                       monde
                                                        natur
                                                                                       e,
                                                                                          un
                                   un
                                                               e
             préservé de la civilisation humaine.
             préservé de la civilisation humaine.
             Soudain,    l’e xplor atr ice,  dont  les  yeux   perçants    scr utaient   chaque    détail,
             Soudain, l’exploratrice, dont les yeux perçants scrutaient chaque détail,
                                                                                                        Ce
                                                                                      «Un
                                                                                                     !»
                                                                                            chemin
                                                                          ia-t-elle.
                                       e
                        une
                                   ièr
                                                  «Regardez
                                            loin.
                                         au
             aperçut une clairière au loin. «Regardez !» s’écria-t-elle. «Un chemin !» Ce
             aperçut
                                                                    s’écr
                                                                 !»
                             clair
                        discr
                                               e les
                              et, tis
                                                                                                         ec
                                      sé entr
                                                                                                     A
                                                                                                       v
                                                                                          appeler.
             sentier
                                                      arbr
                                                            es anciens, semblait les
             sentier discret, tissé entre les arbres anciens, semblait les appeler. Avec
                                       enouv
             une déterm
                                      r
                            ination
                                                                     ent sur ce
             une détermination renouvelée, ils s’engagèrent sur ce chemin, chaque pas
                                                                                   chemin, chaque
                                                                                                       pas
                                                     ils s’engagèr
                                              elée,
             les r approchant des mys        tèr es de l’île.
             les rapprochant des mystères de l’île.
             Ils ne le savaient pas encore, mais ce chemin les mènerait à des décou-
             Ils ne le savaient pa      s encor   e, mais ce chemin les mèner         ait à des décou     -
             vertes qui dépassaient leur imagination, où le passé et le présent se mê-
             v ertes   qui  dépas  saient   leur  imagination,     où  le  pas sé  et  le  présent  se  mê -
             leraient, révélant les secrets de l’île mystérieuse.
             ler aient, révélant les secr      ets de l’île mys   tér ieuse.
      34
   29   30   31   32   33   34   35   36   37   38   39