Page 12 - Le Petit Journal n° 194
P. 12

Rebelle-Santé	vos témoignages
neufs, froids ont une cour intérieure artificielle, pas de vue sur l’extérieur. Une prison pour des personnes qui sont elles-mêmes enfermées dans leur maladie. Ces résidents tournent en rond autour de cette cour. Il y a peu d’activités, les journées sont longues. Lors de ma dernière visite, j’ai été interpelée par un pa- tient. Il m’a dit n’avoir aucune visite, pas de parents, pas de frères et sœurs, pas d’amis, pas de voisins. Il m’a remerciée de lui avoir parlé. Une aumônerie es- saye de faire quelque chose pour ceux qui en font la demande mais combien sont informés par cette pré- sence de bénévoles ?
Et nous vivons une époque où nous pouvons rede- venir maîtres de nos vies, souverains. Différentes al- ternatives de soins sortent au grand jour et tout un chacun s’en empare, se les approprie pour notre son grand bien-être. Et je veux croire que les soignants ne sont pas exclus de ces thérapies et les recherchent pour leur propre bien-être. Ne pourrait-on pas faire rentrer à l’hôpital ces différentes façons de soigner. Je viens par ce témoignage vous demander s’il serait possible pour vous de faire un article sur ce sujet sensible et de rechercher quelles sont les alternatives employées dans certaines structures pour soigner (méditation, soins par l’alimentation...) afin de sen- sibiliser et conscientiser les soignants, même les soi- gnés, d’informer, de faire évoluer et changer les soins pour plus d’humanité. »
Mme C. de l’Isère
Si vous connaissez des structures telles que les cherche cette lectrice, je vous remercie de bien vou- loir me donner des détails. N’hésitez pas à’ m’écrire : Sophie Lacoste – Rebelle-Santé – CS 80203 – 77520 Donnemarie-Dontilly
Thyroïde paresseuse et eau de Quinton
« Mon fils de 50 ans m’a fait part du fait que sa thy- roïde ne fonctionne plus ou très mal. Je lui ai conseillé de tester l’eau de Quinton hypertonique (l’homéopathe me l’a prescrite : super). Mon fils a dit à son médecin qu’il voulait l’essayer avant tout autre médicament. Un mois et demi après, sa glande thyroïde fonctionnait à nouveau (contrôle par analyses). Depuis, tout est resté en ordre. »
Liliane B. de l’Eure
petit Journal Rebelle-Santé n° 194	page 12


































































































   10   11   12   13   14