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Elle n’est ni Sœur Emmanuelle ni Mère Teresa ! Elle croit aux vertus du système libéral qui fait la part belle à l’initiative privée, à la créativité individuelle et à l’esprit d’entreprise. Elle adhère à ce régime économique qui permet les « success stories », telles celles du groupe qu’elle emmène dans son sillage depuis plus de deux décennies. Car vous l’apprendrez en lisant ce livre, Captel a fait des petits : Captis, Capestel et, en Espagne, Can Basso Training.
Anne Dimmers apprécie sans nul doute la réussite matérielle, elle aime le beau, elle aime la vie mais elle aime aussi partager les bienfaits de cette réussite qu’elle a forgée tout au long de ces années. Un peu par intérêt mais beaucoup par conviction !
Chez Captel, l’ambiance de travail et le cadre de vie sont d’une importance primordiale. Il est absolument indispensable que les
cent vingt-cinq membres du personnel se sentent bien, soient heureux, que leur tâche soit un plaisir et non une corvée quotidienne. Pour une meilleure rentabilité, certes, mais aussi parce que, tout simplement, Anne Dimmers aime voir les gens heureux autour d’elle.
La quête du bonheur, n’est-ce pas la seule véritable raison d’être de l’Humanité ? Chez Captel, on s’efforce de concilier capitalisme et humanisme. Et souvent, on y arrive !
On pourrait appeler cela le “ captelisme ”, une autre façon de concevoir l’entreprise tout en générant du profit.
C’est ce que ce livre vous propose de découvrir...
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