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Pemigatinib : une thérapie ciblée utilisée pour les réarrangements
FGFR1.
Différences entre les deux modes d'administration
Absorption : lors d'une perfusion intraveineuse, le médicament est
directement administré dans le sang, ce qui permet une action
immédiate. En revanche, avec des gélules, le médicament doit passer
par le système digestif avant d'être absorbé, ce qui peut prendre plus
de temps. La biodisponibilité (quantité de médicament disponible dans
le sang) dépend de l'absorption intestinale.
Dosage et contrôle : la perfusion intraveineuse permet
d'administrer des doses précises sous surveillance médicale, ce qui est
essentiel pour certains types de chimiothérapie très agressive. Les
gélules sont généralement plus pratiques à prendre à domicile, mais
nécessitent une stricte adhérence pour garantir un bon contrôle de la
dose.
Effets secondaires : les deux formes de chimiothérapie peuvent
provoquer des effets secondaires similaires (fatigue, nausées, perte de
cheveux, etc.), mais la manière dont le corps réagit au médicament peut
différer selon le mode d'administration. La chimiothérapie orale a
parfois des effets secondaires moins immédiats, mais peut encore
provoquer des effets gastro-intestinaux (nausées, diarrhées) et des
réactions cutanées.
Confort et commodité : la chimiothérapie par voie orale est souvent
perçue comme plus confortable, car elle permet au patient de rester à
domicile plutôt que d'aller à l'hôpital pour des perfusions régulières.
Cependant, elle nécessite une stricte discipline pour prendre les doses
selon les prescriptions.
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