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Pourquoi le doute, le mal-être, le mal-
vivre ?

La réponse réside en partie dans le fait que le cheminement de
chacun est ponctué de fondamentaux qui n'ont pas été abordés
de manière simple, structurée et concrète.
Mes 25 ans d'expérience comme consultant senior, 10 ans
comme professeur d'université et 7 ans de business coaching
m’ont appris que le "succès" requiert du "savoir-faire" et la
maîtrise du "comment le faire". C'est pourquoi il faut combler les
lacunes en termes de "non-savoir" et "non-savoir-faire".
Ces fondements rejoignent les concepts philosophiques du "non-
savoir" et du "savoir" qui ont fait l'objet de nombreux débats
intellectuels à travers les siècles.
Le "non-savoir" désigne le manque de connaissance d’un sujet
donné. Il peut être temporaire ou permanent.
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Certains penseurs, tel Socrate , affirment que le vrai savoir
commence par la reconnaissance de son propre non-savoir, et
que la recherche de la connaissance est un processus continu de
réduction de l'ignorance.
Le "savoir" désigne la connaissance d’un sujet donné. Il
représente l'ensemble des connaissances d'une personne ou
d'une collectivité acquises par l'étude, l'observation,
l'apprentissage ou l'expérience, et peut être conceptualisé dans
des disciplines telles que la science, la philosophie ou les arts.
Les penseurs ont également étudié la nature du savoir, ainsi que
la façon dont il est acquis, enregistré et utilisé.
Certains d'entre eux , tels les empiristes, considèrent que le
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"savoir" vient de l'expérience et de l'observation. D'autres, tels les

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1 Socrate : philosophe grec du V siècle av. J.-C. (né vers -470/469, mort en -399).
2 Empiristes : John Locke, George Berkeley, David Hume
Rationalistes : René Descartes, Baruch Spinoza, Gottfried Wilhelm Leibniz
Théoriciens du savoir : John Locke, Immanuel Kant, W.V. Quine

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