Page 211 - Une vie, ma vie, mon parcours

25. L'automne de ma vie - épilogue

J'ai connu la famille, les amis, les potes, le monde du travail
(comme employé, cadre, directeur, patron), des professeurs
d'université, des motards en Harley-Davidson presque tous
tatoués et j'en ai essentiellement retenu que, dans les
rassemblements de motards, ce qui compte le plus, c'est la
"passion" : qui vous êtes, ce que vous faites dans la vie, n'a
aucune importance.
Les motards se réunissent pour participer à des "runs".
Dans ce milieu, j'ai rencontré des chirurgiens, des vedettes,
des professeurs d'université, de grands sportifs, mais aussi
des ouvriers, des coiffeurs, des employés, des
entrepreneurs… des petits, des grands, des hommes, des
femmes, tous les continents sont présents. Ce qui est
magnifique, c'est que tous sont contents d'être là, tous
parlent de leur "passion". La mixité sociale est
extraordinaire.
Pour revenir au titre du livre : une Vie, ma Vie, mon
parcours, il me semble avoir effectivement réalisé un
parcours de vie : ma petite enfance à San Giovanni Lipioni,
mon enfance dans les corons du Hainaut, ma jeunesse, mes
études à Bruxelles, mon travail dans le nucléaire médical, ma
fonction de professeur à l'université, ma vie d'entreprise

dans un groupe international, mes 25 ans comme gérant de
sociétés, mais aussi ma passion pour les voyages en Harley-
Davidson, ma passion pour les voyages vinicoles, mes
différents hobbies et mon fil d'Ariane : la Science.

Pour tous ces moments de vie, je retiendrai une seule
phrase : Vivre, c'est ressentir !

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