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Financial IQ

Argent jeune: Jeune

et multiforme

Lorsqu’un jeune homme choisit de suivre une voie potentiellement propice, parallèle à ses réalités banales, il doit être
prêt à perdre bien des choses. Ben le sait. Il est presque un maître du sacrifice, de la croissance et de la réalisation de
soi. Désormais Président Directeur Général de BKS Investment Group au bout de ses vingtaines d’âges, Ben Kalulu
Sosala dirige un total de cinq filiales qu’il a judicieusement fondées. Intrinsèquement connu pour son service des
navettes d’aéroport, ses appartements en libre-service et son service de location de voitures, BKS Investment se
transforme progressivement en un géant domestique. Et alors que la société peint la ville en jaune, noir et blanc, Ben
réfléchit à sa poursuite inébranlable.
Sacrifice, croissance et auto-actualisation.
” Je me suis réveillé un matin et je me suis
demandé ; pourquoi je fais ça ? Je voulais que
ma vie change. ”

Du réveil, du travail à la compulsion. Les
jours sublunaires de Ben à un moment
où il travaillait pour l’entreprise familiale,
constituent la justification de son discours
; ”J’étais un jeune homme sans but unique.”
Jamais du genre à refuser un appel de la ville,
les gains supplémentaires de Ben étaient
dirigés vers son intempérance. Tout comme
une histoire occasionnelle de changement,
un matin contrasté l’a placé sur un chemin
différent. Avec K1, 500/80 $ en main, Ben
a appelé un collègue qui l’aiderait à faire
enregistrer officiellement son entreprise; BKS
Limited, sous l’immobilier et les opérations
générales. Incertain quant à ce à quoi
ressemblerait son entreprise, Ben a décidé
de construire des appartements sur un
terrain que sa mère lui avait offert. Ceux-ci
deviendront les éminents appartements BKS
en libre-service d’aujourd’hui. Il a étonnamment pris le même chemin pour rentrer chez lui. À son
arrivée après minuit après son voyage intrépide, Ben était déçu par
Ben avait un focus ; celui de construire des l’absence de son ami à l’aéroport pour l’emmener chez lui - un ami
appartements locatifs. Et pour cette cause, à qui il avait confié sa voiture. Décalage horaire, épuisé et presque
toutes ses économies, chaque ngwee gagné cassé, sa seule option était de prendre un taxi de l’aéroport, qui est
était dirigé vers ce projet. Il était tellement tristement cher. La chance a souri à Ben, alors, une navette d’hôtel
préoccupé par la réalisation de son rêve qui était destinée à un invité AWOL est arrivée.
nouvellement trouvé qu’il a commencé
à dépasser les voies sublunaires. Ben se Se réveillant avec la prise de conscience intimidante que les prix
souvient même d’une époque où sa sortie était des taxis de l’aéroport étaient exorbitants, même pour un voyageur
à la condition que ses amis non seulement moyen; Ben a conceptualisé le service de navette BKS.
couvrent sa facture, mais achètent un sac de
ciment. À la fin de son projet de construction, ”Je me suis dit : ce n’était pas juste, donc beaucoup de gens n’ont pas
Ben est retombé dans ses habitudes délicates. ce genre d’argent : 500 Kwacha après avoir voyagé. J’ai trouvé que
Heureusement, ce n’était qu’une question de c’était une brèche, alors j’ai élaboré un plan d’affaires. ”
temps avant que la gravité de sa vision ne
l’éloigne complètement. De la conception à la réalisation : concrétiser un rêve durable.
Après avoir conclu son plan d’affaires, Ben a cherché à explorer ses
Du défi à l’opportunité : identifier une lacune options de financement, la toute première étant ses économies sur les
du marché. appartements locatifs. La pensée d’utiliser son argent de sécurité dans
son intégralité comme capital de démarrage était intimidante, il savait
Un voyage fastidieux à Arusha, en Tanzanie, que cela devait être fait malgré tout. Cherchant de haut en bas des
a déclenché l’évolution de BKS Limited. Dans fonds supplémentaires, Ben a connu de rejets. Il a décidé d’acheter le
sa quête d’un intérêt féminin travaillant à premier véhicule ; un bus qui a coûté toutes ses économies. Le risque
Arusha, Ben a emprunté une trajectoire de financier n’est pas venu sans ses malheurs, car Ben avait besoin de
vol assez complexe: De Lusaka à Addis-Abeba, plus de fonds pour les droits et l’autorisation. Il s’est ensuite tourné
d’Addis-Abeba à Nairobi, de Nairobi à Arusha. vers son meilleur ami, Fabian, qui lui a prêté 6 000 $ pour nettoyer

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