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LE MOYEN ÂGE
De voyager à grande vitesse pendant des dance uniquement à la cavalerie à l ’
jours sans s ’ arrêter ni épuiser les animaux. utilisation de sièges, de catapultes, d ’
Arcs composites : L ’ a rme principale des échelles et d ’ autres équipements et techni-
forces mongoles était leurs arcs composites ques adaptés à la capture et à la destruction
faits de corne laminée, de bois et de ten- des villes.
don. Ces arcs, avec de légères variations, Intimidation et terreur : Il utilisait la peur et l ’
ont été l ’ arme principale des bergers et des intimidation pour soumettre ses ennemis, em-
guerriers des steppes pendant plus de deux ployant souvent des tactiques brutales
p
o
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millénaire. r instiller la terreur chez ses adversai-
Armure : Les soldats mongoles portaient une res. Cependant, il montrait aussi de la clémen-
armure lamellaire sur des manteaux ce envers ceux qui se rendaient, gagnant la
épais. L ’ armure était composée de petites loyauté des peuples conquis et incorporant
écailles de fer, de mailles ou de cuir dur cou- des individus qualifiés dans son armée.
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é
ies
trat
S
sues ensemble. de guerre psychologique : Certai-
Réseaux d ’ espionnage : Ces réseaux d ’ nes de leurs stratégies comprenaient le cata-
espions passaient des mois avant une atta- pultage de grosses pierres ou d ’ animaux ma-
que à repérer les défenses, à cartographier lades par-dessus les murs, l ’ isolement de la
les routes et les voies d ’ évasion. la coupure des approvisionnements
vil
le
t
e
Communication rapide : La communication pour affamer les habitants, l ’ allumage de
n ’ était pas aussi facile qu ’ aujourd ’ feux de camp supplémentaires et la mise en
hui. Genghis Khan a mis en place un systè- place de soldats de paille sur des chevaux de
me de communication rapide pour coordon- rechange pour faire paraître l ’ armée plus
ner ses troupes sur de vastes distances. grande qu ’ elle ne l ’ était, et le barrage ou la
Tactiques de siège : Genghis Khan a adapté déviation d ’ un cours d ’ eau pour inonder la
sa méthode de guerre, passant de la dépen- ville.
