Page 19 - Mes Poèmes.
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le vieilhomme
Perdu dans ses pensées,
Il ne vit venir à lui. I'enfant.
« a quoi penses-tu, papi « , lui
demandait l'enfant, d'une voix douce,
le regard sur cet enfant,
un sourire, de l'un et de l'autre.
traversèrent, les dunes, de son âge,
Passé et celui de l'enfant, avenir.
comme les grains de sables,
dans un sablier, il trouvât.
Que le temps fut court !
et avec un long soupir:
(vécue, l'avons-nous été. ma tendre et.
Défunte épouse.
une vie, brisée par le départ,
De sa femme.
Pour lui, partie un peu plutôt.
Rien ne semblait être comme avant.
mais il fallait continuer pour lui,
« viens allons pécher à l'étang «
La toile
Sur un chevalet,
Une toile blanche.
Ass'i s, ou debout,
Le pinceau à la main,
De I'autre, sa palette:
Le peintre fixant,
D'un sourire, un regard,
Vers cette tolle
De ceL Le pal eLce en bois,
QueLques gouttes de peinture
Peignant, du fond,
De ses souvenirs.
Pour d'autres,
Un modèIe est sulet.
Tubes de toutes nuances/
Les hulles aux,
Multrples usages/
Les vernis à retoucher,
A tableaux,
Ainsi '-:utes Ieq gamr.es.
Un pas en arrière,
Un autre en avant,
Que l ques uouches decr-de l à.
Une toile si blanche,
Se trouvant en multi-colore
Une toiIe, venant,
Tout drolt, de chez,
Le marchand de toiles,
Une si belle et,
Grande toiIe,
Telle la couleur,
Des nelges de,
Tous les temps.