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140 137 Le krach boursier et la grande dépression Grande Dépression, Grande Leçon En 1928, dans son discours de remerciement pour sa
Enseignements de Torah
LA MAIN CACHEE · Tout d’abord, le 24 octobre 1929, le « jeudi noir » qui annonça
Ce krach boursier suivi de la Grande Dépression nous apporte
plusieurs enseignements de Torah.
le début du krach, coïncidait avec Hochana Raba en Erets Israël. Le
Zohar nous enseigne qu’Hochana Raba est le jour où est scellé
l’avenir économique des nations non-juives. L’on ne pouvait trouver
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date plus appropriée qu’Hochana Raba pour marquer le début de la
Grande Dépression.
Deuxièmement, les « années rugissantes » avaient été ainsi
nommées en raison de l’abondance matérielle ayant conduit à
l’idolâtrie de la richesse. Cette époque était d’ailleurs caractérisée
par les « speakeasys », des bars clandestins emplis de gens ivres
menant une vie fastueuse, insouciante et débauchée.
La richesse met l’homme à l’épreuve de manière redoutable.
Elle lui procure parfois une confiance en soi démesurée, à l’origine
de toutes sortes de comportements débridés. Il convient donc de
veiller soigneusement à son intégrité spirituelle, afin de ne pas
tomber dans le piège de la richesse. Le jugement divin des
mauvaises actions est imperceptible, mais le jour venu, il s’avère
implacable.
Ce principe peut être illustré par l’achat des actions sur marge,
que presque tous les historiens citent comme étant l’une des raisons
principales du krach boursier. L’argent facile a procuré aux gens un
sentiment erroné de sécurité et de richesse. Ils ont vécu dans
l’insouciance, sans penser au jour où ils devraient rendre des
comptes. Et soudain, le marché s’est effondré. De la même manière,
lorsque les gens agissent de manière immorale et « tirent des
fonds » de leur compte moral, Hachem observe silencieusement la
situation, en espérant qu’ils useront de leur libre arbitre pour
rectifier leur comportement. Mais s’ils n’en font rien, l’heure
Les années 20 aux États-Unis étaient caractérisées par leur « Nous n’avons jamais été aussi proches de la victoire sur la nomination au Parti Républicain, Herbert Hoover affirm
automatiquement les moindres conversations du Bureau Ovale.
Nixon souhaitait que ces enregistrements servent plus tard de
témoignages sur son rôle dans l’Histoire. C’était certes ce qui allait
se produire, mais pas de la manière dont il l’avait prévu.
Les enquêteurs exigèrent qu’on leur remette ces enregistrements,
ce que Nixon refusa catégoriquement. Son attitude était un aveu
pourquoi ne se pliait-il pas à la demande des enquêteurs ? Cet
indirect de culpabilité. Si le Président n’avait rien à se reprocher,
épisode marqua un tournant décisif dans l’enquête de l’affaire du
Watergate. L’opinion publique réalisait à présent que le Président
avait quelque chose à cacher. 7
La guerre d’octobre
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Alors que le scandale du Watergate ébranlait la sacro-sainte
présidence des États-Unis, à l’autre bout du monde, les Arabes se
préparaient à lancer une attaque sournoise sur Israël, le jour le plus
saint du calendrier juif, Yom Kippour. Le Président égyptien
Anouar el-Sadate avait ouvertement menacé de lancer l’offensive
contre Israël, dans une interview donnée au Newsweek publiée le 9
avril 1973. Les services secrets israéliens avaient d’ailleurs remarqué
d’inquiétants mouvements de troupes égyptiens au cours de l’été.
Ils en avaient informé le Général légendaire Moché Dayan,
ministre de la Défense de l’époque. Or curieusement, ce dernier ne Comment le scandale du Watergate sauva des vies juives
prit pas la menace au sérieux. De manière tout aussi inexplicable, le
Roi Hussein de Jordanie s’envola secrètement pour Tel-Aviv, afin
d’avertir le Premier ministre Golda Méir de l’imminence d’une
attaque syrienne. (Il craignait la défaite des Arabes et une annexion
israélienne de territoires comme en 1967, lorsque la Jordanie s’était
jointe à contrecœur au conflit.) Mais toutes ces mises en garde
furent ignorées par Israël, vouant une confiance excessive dans la
puissance de son armée.
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