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L ’imprudent défi du Cha�enger
tests de trajectoire et d’atterrissage.
Enterprise : une navette exclusivement destinée à des
•
• Les six navettes américaines :
de la navette spatiale.
le Président Richard Nixon accorda son feu vert au programme
entravés par des restrictions budgétaires, mais le 5 janvier 1972,
était également envisagée. Les plans de la NASA furent
vivant de manière permanente. Une mission habitée sur Mars
station spatiale, servant de zone de transit pour une colonie y
flotte de vaisseaux spatiaux destinés à approvisionner une vaste
réalisé. L’objectif initial de ce programme était de créer une
visant à faire marcher l’homme sur la lune fut sur le point d’être
établis à la fin des années 1960, lorsque le programme Apollo
• Les plans du programme spatial de la NASA furent
vingt-trois ans !
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km/h. Tous ces progrès ont été accomplis en à peine quatre-
en orbite à 643 km au-dessus de la Terre à une vitesse de 27 358
En 1986, une navette spatiale pesait 2 300 tonnes, et tournait
réussit à parcourir une distance d’environ 36 mètres à 64km/h.
• En 1903, le « Flyer » des frères Wright pesait 274 kg et il
·
Au sujet des navettes spatiales
l’expression pleine et vivante.
entendre Sa parole prononcée au Sinaï, la respecter et en devenir
non pour défier Hachem et « toucher Son visage », mais pour
spatiale dotée d’une immense force de propulsion vers les Cieux,
aurions osé imaginer. L’homme peut être comparé à une navette
transporte en des dimensions inédites, au-delà de ce que nous
nous nous ouvrons à Hachem, Son pouvoir nous submerge et nous
Mais lorsque nous acceptons humblement notre finitude et que
qu’avons-nous fait ? ». William L. Laurence, écrivant son journal à bord de son B-29, l’on pense à Pearl Harbor et à la Marche de la Mort de Bataan. » pour de pauvres bougres sur le point de mourir ? No
L’ère nucléaire avait officiellement commencé.
· Les terribles détails
Dans son ouvrage Hiroshima où il décrit le bombardement, John
Hersey raconte avec moult détails le cauchemar des victimes au
sol :
« Des survivants hébétés erraient tels des somnambules à
travers les décombres. Certains avaient les sourcils brûlés,
et des lambeaux de peau pendouillaient de leur visage et de
leurs mains. D’autres vomissaient tout en marchant. Bon
nombre d’entre eux étaient en haillons. Sur certains corps,
les brûlures avaient créé comme des motifs, tels que les
empreintes des tricots de corps, des bretelles ou encore les
formes des fleurs dessinées sur leur kimono. Presque tous
avaient la tête inclinée, et regardaient droit devant eux,
silencieux, le visage inexpressif. Personne ne sanglotait ni
ne criait de douleur. Aucune des victimes ne rendit l’âme
bruyamment. Même les enfants ne pleurèrent pas. »
On estime qu’environ 70 000 personnes perdirent la vie
instantanément à Hiroshima, et que 70 000 autres furent blessées.
Peut-être le pire fut-il la mort et la souffrance causées par les
retombées radioactives de la bombe.
Quelques heures après l’explosion de la bombe atomique,
Hiroshima était une ville de morts et d’agonisants. De nombreux
hôpitaux avaient été détruits. Les médecins et les infirmières qui
avaient survécu mirent en place des postes de secours dans les
périphéries de la ville. À la tombée du soir, les médecins Hiroshima
remarquèrent que les blessés présentaient des symptômes étranges.
Ils commencèrent à vomir et à souffrir de diarrhées. Beaucoup se
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