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G. Duminil
L’absence de tirage et de déchirements
(inévitables avec les alginates) autorise la
reproduction de tous les détails.
L’impression des modèles est le plus
souvent confiée au laboratoire de prothèse
qui dispose d’imprimantes adaptées à
cette tâche. La technologie filaire un peu
moins précise et plus lente pour l’im-
pression en nombre est le plus souvent
remplacée par la stéréo-lithographie.
Confection des appareils
En collaboration avec le laboratoire de
prothèse, sur des moulages imprimés, le
prothésiste va confectionner les appareil-
lages prescrits (fig. 29 à 31).
Il peut également par CFAO situer et
personnaliser les attaches et les guides
Figure 29 : l’impression des moulages permet la confection des appareillages, les de collage (fig. 32- 33) [2,11] computer-aided
bagues sont conçues en CAO pour une adaptation optimale. design and computer-aided manufacturing
(CAD/CAM).
Détection de caries
Avant même l’appareillage et lors du suivi
du traitement, il est important de pouvoir
détecter la présence de caries. Plusieurs
scanners peuvent actuellement participer
à la détection des caries en utilisant des
technologies différentes : fluorescence,
transillumination, et détection en lumière
proche de l’infrarouge.
Figure 30 : l’impression des moulages permet la confection des appareillages,
les bagues sont conçues en CAO pour une adaptation optimale.
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