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Epilogue

Nous arrivons au terme de notre voyage, pour avoir convoité une bonne partie du nord de Madagas-
car. Partant à la hauteur d’Ananalava en remontant jusqu’à Diego Suarez par le canal du Mozam-
bique.

Je n’ai évoqué qu’une partie du voyage. Nous aurions pu partir plus au large pour décrire les sites de
la zone du Grand Castor ou encore, le banc de la Zélé et même le banc du Geyser qui est rattaché

aux Glorieuses, sur la partie Mozambique.
Madagascar à une superficie de 587 040 km2 et s’étant sur 1600 km du Nord au Sud et sur 600km
d’Ouest en Est.

J’ai la chance d’avoir fait le tour de cette grande île en plongée et d’en découvrir les fonds encore
inconnus pour la plupart à ce jour.

De la côte Est de l’île au départ de Diégo Suarez, en passant par l’île de Sainte Marie (Plus grand ras-
semblement de baleines à bosses, son festival a lieu en juillet et réunit une communauté de touristes
très importante). Descendant à l’extrême Sud à Fort Dauphin et remontant sur la face Ouest (canal
du Mozambique), faisant une halte à Androka, nous continuerons sur Anakao, puis Tuléar.

Remontant vers le nord nous explorerons Morondava, nous poursuivrons sur Mahajanga, et revenir

enfin dans les zones plus convoitées du Nord en rentrant dans l’archipel des Radama. La boucle est
bouclée. Un périple de plusieurs années, qui j’espère fera avancer la science, mais aussi développer le
tourisme et faire découvrir Madagascar à ceux qui rêvent d’aventure et de passion.
Ces côtes encore totalement inexplorées de tous nous ouvrent les yeux sur une richesse sous-marine

incroyable qui détient encore énormément de secrets cachés.

A l’heure où j’écris ces quelques mots, l’aventure n’est pas terminée et nos investigations continues.

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