Page 3 - sur la sircelerie
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blanc (le Mage) et le sorcier noir, celui qui jette des mauvais sorts.
Origines et histoire de la sorcellerie
Le mot « sorcellerie » vient du terme « sorcier », qui, à l’origine, désignait les
vieilles coutumes (herboristes, guérisseurs, chaman, druides…). Chaque société,
chaque époque, et chaque religion possède sa propre vision de la sorcellerie.La
notion de sorcellerie débute en Europe à partir du 14ème siècle pour les
chrétiens. Ils admettent son existence mais ne croient pas à ses résultats.C ’est
au 17ème siècle qu’elle fut rejetée et condamnée par l’église. A cette époque,
il ne faut pas oublier que le christianisme considérait la femme comme
inférieure. Ce qui expliqua son rôle prédominant dans la sorcellerie et
déboucha sur la chasse aux sorcières.
Mythe ou réalité ?
Depuis toujours, certaines personnes rejettent l’existence de la sorcellerie et
d’autres la condamnent. Néanmoins, elle est bien présente et son efficacité est
très concrète. En effet, il existe de nombreuses preuves irréfutables.La plupart
des communautés arabes, les Perses, les Indiens, et même les Haïtiens
(comme beaucoup d’autres peuples, reconnus pour leur sagesse) ont depuis
toujours convenu de son existence. Des objets, dessins et écrits prouvent que
la sorcellerie s’est propagée tout au long de siècles.
Voici quelques preuves de l’existence de la sorcellerie :
Tout d’abord, dans un livre découvert au dix-huitième siècle, figure des
symboles de sorcellerie que l’on découvrira sur plusieurs objets dans tout le
pays, certain gravé sur la pierre. Dans cet ouvrage, la sorcellerie est déjà
décrite comme une science capable de provoquer des changements grâce à la
volonté.
Ensuite, un symbole très représenté au nord de l’Islande. La sorcellerie sert
dans cette région à se protéger des maladies, des famines, des tempêtes et de
ses ennemies.
Enfin, la fameuse sorcellerie haïtienne, bien connue sous le nom de « vaudou ».
D’authentiques anciennes poupées vaudous sont trouvées sur tous les
continents. Ces figurines représentent la personne visée par les rituels, de
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