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Les moutons
La majeure partie de la population agisse comme des
fanatiques. Pour rendre la population fanatique il aura
simplement fallu créer des événements comme “la
semaine de la haine” ou les “deux minutes” . Cela agit
comme une drogue. Malheureusement les enfants sont
les premiers touchés. Par exemple à la page 37 on
peut remarquer que des enfants sont tristes car ils ne
peuvent pas regarder une pendaison ! Ils la réclament
même. À travers ce genre de message, George orwell
dénonce la manipulation des politiciens envers les
plus jeunes, fortement influençable. Les enfants sont
donc éduqués pour dénoncer les “non fanatiques”,
même les parents y passent il n’y a pas de pitié.
L’amour parent-enfant a disparu. L’instinct maternel
est détruit. Il y a un bourrage de crâne massif. On hait
mieux quand on hait ensemble. De ce fait le peuple ne
doit avoir qu’un ennemi, le même, Goldstein.
