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Bon, prenons quelques exemples concrets. L’art subtil du coaching!

Oui, bien sûr, je suis en train de
Là, c’est facile. Tu finis la liste de noter ce que ma femme m’a de-
commission. mandé d’acheter: 6 œufs, 1 litre
de lait... Mais non, j’écris ce que je
veux dire à mes gars pendant le
tiers.

Et là, le gars avec le joli maillot
rayé, il se commande une bière
pour la pause? Tu es fâché contre ton
joueur? Tu l’envoies au
Non, pas du tout! Quand l’arbitre vestiaire?
lève le bras et que nous jouons à
domicile, j’ai encore 5 secondes
pour changer mes lignes en fonc-
tion de l’équipe adverse.

Mais non, je lui explique juste ce
que j’attends de lui. Et je n’ai que
très peu de temps pour cela. Des
fois, un regard doit suffire pour
faire comprendre aux joueurs ce
que je veux.

Et voici le résultat d’un bon
coaching, ce savant mélange
entre stratégie, tactique et
psychologie. Les gars savent ce
qu’ils ont à faire.

Mais moi, je suis désolée, je n’y
comprends rien! Je crois qu’il
vaut mieux laisser au coach le
soin de gérer son équipe: à cha-
cun son métier!

Toute la rédaction de Femmes-club tient à remercier chaleureusement MG pour la patience angélique dont il
a fait preuve devant des questions certainement très basiques.

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