Page 7 - GBC Fall 2018 Fre
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Laurence Applebaum, DG, Golf Canada (à gauche) en compagnie de Catherine McKenna, députée, Ottawa Centre et ministre de l’Environnement et du Changement climatique.
sur le vert d’exercice. Les députés ayant tous des terrains de golf dans leur circonscription, les conversations ont été amicales. Plusieurs ont souligné combien il était plaisant d’accueillir l’industrie du golf à Otta- wa, étant donné que la plupart des autres industries avec des relations gouvernementales semblables donnent souvent lieu à des échanges plutôt ardus.
Il y a lieu de noter que le ministre de la Petite entreprise et du Tour- isme, Bardish Chagger, a échangé activement avec les délégués du golf, tout comme le Président de la Chambre, l’honorable Geoff Regan, et la ministre de l’Environnement et du changement climatique, Catherine McKenna, pour n’en nommer que quelques-uns.
Le lendemain matin marquait le lancement de la Journée nationale du golf avec un déjeuner-causerie à 7 h 30. Le conférencier invité, le député de Cape Breton-Canso, Rodger Cuzner, est l’un des plus anciens députés du parti libéral. Ayant plusieurs terrains de golf dans sa circonscription, y compris le Cabot Links et le Cliffs, M. Cuzner est aussi un grand défenseur du golf. L’un des volets de la stratégie des relations gouvernementales vise à identi er des champions et à créer des relations avec eux a n qu’ils défendent le golf à l’intérieur du Parlement. M. Cuzner est maintenant l’un de ces champions.
À la suite du déjeuner-causerie, l’équipe des 20 délégués du golf s’est divisée en groupes de deux ou de trois personnes pour se rendre à leurs réunions respectives avec des députés individuels. Environ 40 de ces réunions ont eu lieu tout au long de la journée. Quelques rencontres supplémentaires ont été prévues plus tard a n de respecter les horaires chargés.
Les messages clés transmis à chacune de ces rencontres avaient été préétablis, énumérant les raisons pour lesquelles le golf est le sport de participation de choix au Canada, af rmant que le golf génère un impact économique plus important que tout autre sport, qu’il recueille davan- tage d’argent que tout autre sport pour les œuvres caritatives, qu’il représente l’aménagement du territoire le plus respectueux de l’environnement, mettant en lumière les bienfaits du golf sur la santé ainsi que la grande diversité du golf canadien d’aujourd’hui. Les délé- gués ont massivement déclaré l’appréciation réelle de tous les députés et leur engagement d’appuyer le golf à l’avenir.
STRATÉGIE DE RELATIONS PUBLIQUES
Parallèlement aux réunions plus sérieuses à l’intérieur du Parlement, Nous sommes golf a tenu des activ- ités de la Journée nationale du golf sur la pelouse à l’avant. Ce n’est pas facile de réserver la colline du Parlement pour une telle activité, mais ça en valait bien la peine de franchir tous les obstacles pour en obtenir l’accès. L’image des rela- tions publiques du golf a inscrit un trou d’un coup ici.
Bien que les touristes et les parlementaires aient été invités à y participer, l’accent portait princi- palement sur les jeunes. Golf Cana- da et l’ANPTG du Canada ont fourni des aires de frappe gon ables, des verts d’exercice, des bâtons de plastique, des balles et des  lets cibles. Des autobus remplis de jeunes arrivaient tel que prévu, dans le contexte de sorties de classe à l’horaire. Les professi- onnels de la PGA du Canada aidaient les jeunes enthousiastes à faire de cette sortie de classe la meilleure de leur vie! Les thèmes gol ques étaient axés sur le plaisir et les jeunes. Les écoles multicul- turelles étaient au rendez-vous, signalant aussi la diversité du golf.
À 10 h 30, Jeff Calderwood et Laurence Applebaum, DG de Golf Canada, ont tenu une conférence de presse sur une scène installée parmi l’action et le plaisir des jeunes sur la colline. Encore une fois, les messages clés du golf ont été présentés, cette fois à l’intention du public. Plusieurs médias ont alors repris le thème de la Journée nationale du golf.
Le bourdonnement médiatique a perduré tout au long de la journée, et dans la semaine suiv- ante, des douzaines d’entrevues de suivi ont été demandées, donnant lieu à la diffusion accrue de la belle
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