Page 8 - VoxCitizen_Synthese Chesnay-Rocquencourt

Satisfaction à l’égard du travail réalisé par le maire

Les habitant.es du Chesnay-Rocquencourt semblent parfaitement distinguer le
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bilan de l’équipe sortante et celui du maire sortant. Le bilan attribué au conseil
municipal est plus positif (63 %) que celui attribué au maire lui-même (50 %).

Le maire du Chesnay-Rocquencourt :
une personnalité politique mêlant ambition pour sa ville
et ambition personnelle

Les répondant.es soulignent l’engagement du maire pour sa ville et son amélioration.
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Cette ambition pour sa commune semble se conjuguer avec une forme d’ambition
personnelle.

Décision de candidature du maire sortant

Lors des élections municipales de 2014, le maire sortant, Philippe Brillault, avait
annoncé dans les médias qu’il s’agissait de son dernier mandat. En raison de la
fusion des communes, il a décidé de se représenter aux élections de mars 2020.
Cette décision n’emporte pas l’adhésion puisque 62 % des répondant.es ont une
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opinion défavorable quant à la décision du maire sortant de se représenter aux
municipales 2020.

Municipales 2020 : une volonté de renouvellement
à la tête de la mairie

Maire de la commune du Chesnay depuis 1989 et aujourd’hui à la tête de la nouvelle
commune du Chesnay-Rocquencourt (fusion de ces deux communes en 2019),
Philippe Brillault est en poste depuis plus de trente ans.
Cette longévité peut expliquer en partie cette opinion défavorable car pour la majorité
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des répondant.es, un maire dont les mandats s’inscrivent dans la durée est un
maire qui n’a plus de vision pour sa ville et des besoins de ses administrés (57 %).
Cette longévité peut également expliquer que 67 % des répondant.es souhaitent
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un renouvellement à la tête de la mairie.

Le programme électoral : un facteur important

Alors même que le bilan de l’équipe municipale sortante est jugé positif par
les répondant.es, ledit bilan semble avoir un poids modéré dans le choix du vote.
Le programme annoncé par les candidats devrait jouer un rôle plus important
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(28 %). Les municipales constituant un scrutin de proximité, la personnalité des
candidats joue aussi dans les critères de choix (20 %). La politique nationale
(politique du gouvernement et étiquette politique) n’a pas d’impact réel dans le
scrutin local.

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