Page 5 - La Gazzetta
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   LA STORIA DI COSA NOST'REC
Nous sommes dans l’Ouest de la Sicile, en 1860. Cosa Nostra, « notre chose » en italien, se développe et s’affirme comme la mafia des mafias. Un siècle et demi plus tard, John Dickie écrit : « Dans le dialecte palermitain, l’adjectif mafioso signifiait autrefois beau, hardi, sûr de soi. Tout homme méritant ce qualificatif possédait donc un petit quelque chose de spécial, un attribut appelé mafia. »
Ce petit quelque chose, nous l’avons tous à Cosa Nost’Rec.
Famille mafieuse initialement établie à Palerme, elle n’eut d’autre choix que de s’exiler aux quatre coins du monde lorsque les activités illégales de ses membres furent repérées par la CIA.
Chacun désormais installé à l’étranger poursuivait tant bien que mal sa vocation criminelle, mais c’est alors qu’une lettre vint tout bouleverser.
Théo et Anaïs, cerveaux du groupe, les contactèrent un par un dans un seul but : organiser ensemble un braquage qui leur offrirai la gloire et l’argent tant convoités pendant leurs années de séparation et, surtout, réunifier Cosa Nost’Rec.
Ainsi chaque membre s’en alla pour le Nord de la France, l’opération se déroulant à Lille.
L’objectif ? S’intégrer au sein d’une école et prendre un maximum de photographies pendant un an, afin de réunir toutes les informations nécessaires à la réussite de leur hold-up. Cependant, il leur faudra éviter d’attirer les soupçons de la CI’Art et pour cela, ils pourront compter sur les deux taupes de cette dernière, Max et Salomé, heureux nouveaux membres de la famille.
Mais avant tout, c’est le courage, l’unité et le sens de l’honneur de Cosa Nost’Rec qui pousseront ses membres à aller au-delà de leurs limites, et qui feront de l’école un marché incontournable d’images, de vidéos et d’écrits sur tout ce qu’il s’y passera de plus sombre pendant un an.
  

























































































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