Page 12 - La petite auto française à Paris
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De grands arbres bordaient les avenues de Paris, les freins crissaient et les sirènes hurlaient. Deuzy tremblait de peur jusqu’au moment où Luc posa doucement
ses mains le long de son tableau de bord. « Tout va bien, mon amie. »
Deuzy et Luc tracèrent leur route au travers du trafic jusqu’au magasin de fleurs de
Maman. Des arabesques dorées et d’élégantes lettres annonçaient « La Fleurette » sur ses larges portes vitrées. De chaque côté des portes, les grandes baies vitrées étaient remplies d’une multitude de fleurs fraîches.
 





























































































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