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  barbecue et ce fut d'ailleurs la première fois que je mangeais du bœuf à
 Taiwan. Elle m’emmène également régulièrement au golf le samedi.
 Je vous remercie de me permettre de vivre cette aventure.
 Bonne année,
 Oscar MORVAN
LIRE POUR SERVIR
Notre prochain apéritif statutaire du 7 février sera l’occasion de vous présenter ce service à l’intention des membres lecteurs réguliers, compulsifs ou occasionnels, et de procéder à des prêts entre nous de livres, les membres de la commission viendront avec quelques livres qu’ils apprécient pour vous les proposer.
La participation à cette action sera refacturée par le trésorier 20.00€ à chaque participant pour ce demi- exercice, soit le prix d’un livre.
Note de lecture de Yves LARDY
LORSQUE J’ETAIS QUELQU’UN AUTRE, de Stéphane ALLIX.
Je dirai en préambule, que je n’ai jamais été attiré par l’ésotérisme, l’astrologie, les médiums et ne crois pas particulièrement aux esprits, mais j’ai été subjugué par ce livre : au début, nous partons vers un pays d’Amérique du Sud, avec le narrateur “journaliste engagé “, vous voyez de quel côté !!!!!
Il est surmené, aux bords du ...........
Non je n’écrirai pas l’anglicisme à la mode, mais je me contenterai de dire qu’il est en mal-être, proche de la dépression et va tenter de reprendre contact avec lui-même. Il doit vivre, seul, cette régénération sur un lit recouvert d’un rectangle de mousse, dans une cabane au toit de palmes, aux murs simplement tendus de moustiquaires. La rivière voisine servira pour les ablutions et on lui apportera ses repas deux
fois par jour. Il effectuera un programme de travail corporel et énergétique, qui doit accompagner son cheminement spirituel pour l’amener à se rencontrer et savoir qui il est vraiment.......
Mais tout bascule un soir, où il s’abandonne à la rêverie et pense soudain à son frère et à son père morts, qui semblent lui livrer un message : il visualise la vallée où il se trouve comme s’il était un aigle et le paysage sous ses ailes se transforme en champ de neige : un village détruit avec un char d’assaut et des soldats allemands en progression, il est l’un d’eux, un officier SS et il se voit mourir blessé à la gorge par un éclat d’obus qui lui sectionne la
jugulaire ; son prénom est Alexander, son nom Herrmann et il est
Obersturmführer. Il a aussi la vision d’une petite fille blonde,
souriante.
Ces visions se mettent à l’obséder au point que, rentré en France, il fait des recherches et nous embarque dans un jeu de piste, qui nous tient en haleine :
• Découverte sur internet, qu’il y a eu deux SS qui s’appelaient Alexander Herrmann et étaient Obersturmführer ; l’un n’était pas dans une unité combattante, mais l’autre est mort 20 octobre 1941 dans le VALDAÏ.
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