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• Un historien américain lui procure 78 pages de dossiers militaires allemands conservés sur microfilms, sur Alexander Herrmann, qui donnent les premiers renseignements sur le curriculum vitae d’Alexander et sa mort.
• L’écheveau se dévide avec la découverte de renseignements sur ses parents, sa femme, la ville où il a grandi, une photo de mariage, qui servira à des médiums.
• En bon journaliste, l’auteur, aidé par une généalogiste allemande retrouve en Allemagne, la nièce d’Herrmann et les lieux de son enfance et de son adolescence.
• Ses pas l’amènent en Russie où il se fait conduire par Nicolas, un français installé à Moscou, à Sukhaya Niva là où est mort et aurait été enterré Herrmann ; il découvre qu’en fait, il n’a pas été enterré, là où les services allemands l’avaient indiqué, mais qu’il repose sous une maison, construite après guerre ......
Tout au long du récit de multiples interférences, coïncidences entre sa vie et celle d’Herrmann, des émotions se produisent au point que Stéphane Allix se demande s’il n’est pas, lui, le journaliste engagé la réincarnation d’un nazi pur et dur. A chaque fois qu’il passe dans des endroits qui ont marqué la vie d’Herrmann, son corps se retrouve dans des atmosphères pesantes, éprouvant des peines mystérieuses et intraduisibles
“ mon corps sait ce que mon esprit ignore “dit-il .
En dehors de l’enquête, ce livre nous amène à de nombreuses réflexions sur la montée démocratique du parti nazi au pouvoir en 1933, le recrutement de jeunes sains de corps et d’esprit dans la S.S. et leur transformation en automates incapables de ne pas obéir aux ordres, la communication des esprits, la somatisation des pensées.
Yves Lardy
P.S. A Noël, à Moscou, j’ai eu l’occasion de rencontrer Nicolas, le chauffeur français en Russie de l’auteur, qui m’a confirmé les émotions de l’auteur, quand il passait dans les lieux où avait été Alexander ou son absence de réaction, là où il n’avait pas été enterré.
AIDA
Aide à l’insertion des demandeurs d’asile, Par Jean Bernard ROTTIER
Le chantier installation du wifi à l’hôtel anciennement Formule1 d’Arnage, maintenant propriété de l’ONU est réalisé.
Les réfugiés accueillis vont pouvoir utiliser dans les espaces communs un wifi sécurisé, avec traçabilité des appels pour éviter les détournements éventuels.
Les résidents actuels vont terminer prochainement leur séjour de 4 mois, un nouveau groupe arrivera bientôt. Il nous appartiendra, d’engager la phase 2 du soutien que nous avons envisagé, avec la mise en place d’un accompagnement de type parrainage.
Merci de faire part de votre souhait de vous inscrire dans cette démarche, soit auprès de Jean Bernard Rottier soit auprès de Alain Foret.
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