Page 3 - La résurrection de Jésus renferme des indices révélateurs inabordés dans la tradition du christianisme
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entre le visible et l’invisible. Qui plus est, plus rares encore sont-ils, ceux qui interprètent la
               scène du Crucifiement en s’inspirant du ciel. C’est pourtant, un des éléments principaux dans
               la Crucifixion et la Résurrection de Jésus.

               Cependant,  et  c’est  àà  savoir,  rien  ne  saurait  être  unique  sur  la  Terre  et  dans  le  Monde.
               D’ailleurs, on aurait tort de croire être l’auteur unique de ses pensées. C’est bien plus complexe,
               car de notre point de vue, il existerait un plan métapsychique de la pensée. A suivre …

                Pour l’instant et pour se faire une idée, rapportons le début de Tout Savoir sur Jésus-Christ .

                                    La version ebook sur le Play Store diffère un peu :

               « Au mont Golgotha ou mont du Calvaire nommé aussi lieu du Crâne sous le regard de Dieu,
               le ciel dessinait en ce lieu une Mandorle durant l’agonie des crucifiés et de Jésus sur la croix. La
               configuration du ciel formant une amande durant la scène du crucifiement, révèle par
               analogie, l’état divin et la gloire à venir du Christ sur un plan non-terrestre. »

                                                       *** *** ***

               Maintenant,  si  vous  êtes  toujours  intéressés,  brièvement,  donnons  une  suite  à  ce  plan
               métapsychique de la pensée. Il y a quelques années, nous avions écrit un sujet intitulé « Les
               chrétiens et la sexualité ». Aux premiers abords, on pourrait se demander, quel est le lien ?
               Pour  le  savoir,  nous  republierons  cet  article  qui  semble  s’être  évanouit.  Néanmoins,
               mentionnons la partie qui intéresse.



                                       Les chrétiens et la sexualité Pierre Puccio

               Extrait de « Jésus Résurrection Astrale », (2013), chapitre VI : « Lorsque nous émettons une
               pensée, celle-ci dépasse le corps physique pour atteindre le corps métapsychique, et d’une autre
               manière, en dehors de la lumière, le corps vibratoire.

               Si l’on crée des pensées dans un monde métapsychique, obligatoirement, elles nous reviennent.
               Toutes pensées procèderaient de l’effet « Boomerang ». De ce fait, si elles sont bonnes, elles
               sont fastueuses. Si elles sont mauvaises, elles sont néfastes. Il faut donc se méfier des pensées
               que l’on peut émettre, et se garder d’avoir des pensées de haines, de vengeance, de convoitise,
               car c’est autant de choses qui nous reviennent, prolifiques, ou nuisibles, et qui se retrouveront
               après la mort, influant le devenir.

               C’est donc dangereux d’émettre des pensées mauvaises plutôt que des bonnes. C’est un risque
               à prendre, et c’est pourquoi par exemple, les sorciers le prennent, en en subissant très souvent
               les réactions, se positionnant alors dans des plans de non-retour, d’où il est très difficile de les
               en tirer.
               Attention  :  En  fait,  lorsque  nous  émettons  des  pensées,  elles  se  créent  déjà  sur  ce  plan
               métapsychique. Mais  elles se créent  surtout  avant  même que nous  les ayons  émises,  ayant
               l’intention seulement. C’est donc qu’au moment où l’on crée, que la faute ou la vérité est déjà
               approchée. Si elle est bonne, c’est très bien, c’est une vérité. Si elle est mauvaise, c’est très mal,
               c’est une faute.

               Ainsi, dans un couple, selon la nature des actes sexuels, ce ne sont pas tant les actes eux-mêmes
               qui sont physiques, qui pourraient êtres nuisibles, mais plutôt l’émission des pensées, ayant
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