Page 65 - Livre 10 Yanik Martel
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La douce cabane de ma soeur et moi
C’était le soir, il fallait dormir alors tout le monde est allé au lit. Au bout d’une heure de dodo, ma sœur et moi entendons un bruit bizarre venant du jardin alors on y va, munies d’une lampe de poche pour voir ce qui ce passe ; nous avons aussi une pelle pour nous défendre. Soudainement, derrière la cabane du jardin, on y voit des chiots volants en train de voltiger et on dirait qu’ils attendaient leurs semblables.
On était terrifiées devant ces incroyables créatures magiques, mais on essayait de rendre notre peur par un silence pour ne pas réveiller le quartier. On s’est souvenues qu’on avait créé une cabane en coussins... on dirait que cette cabane avait peut-être un truc magique. Alors, on est allées dans la chambre de ma soeur et, tout à coup, plein de chiens volants sortirent d’un portail interdimensionnel de l’intérieur de la douce cabane. Ils volaient partout autour de nous!
On essayait de repousser les chiots pour détruire la cabane, mais on n’y arrivait pas. Pour régler le problème, avec la pelle, on a repoussé les chiots volants mais pas les plus gros et robustes. Alors, on a essayé avec deux pelles et ça a marché plutôt bien.
Enfin, on atteignit la cabane. On l’avait détruite et plus aucun chien volant en est sorti. On était bien fatiguées, surtout que les chiens magiques se sont envolés vers l’espace. On avait nettoyé toutes les plumes et toutes les fourrures puis on est allées se recoucher.
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