Page 140 - Livre 23-12 Yanick Martel-Jean Lemonde
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Ce n’est qu’à ce moment-là que j'ai compris que mes pensées pouvaient devenir réelles et qu’il fallait que j'apprenne à les contrôler. En comprenant cela, je me sentais apeurée, mais heureuse en même temps, car je pouvais penser à n’importe quoi et cela apparaîtrait. Je ne voulais plus repartir.
Au début, quand j’avais compris que mes pensées pouvaient devenir réelles, je trouvais ça génial de pouvoir demander tout ce que je voulais, mais à ce moment- là je ne me rendais pas compte que mon pouvoir était limité dans le temps.
J’en profite donc pour demander mes rêves les plus fous, comme avoir un chien blanc. Après avoir pensé à cet animal très fort, rien n’apparut ! Je réessaye... Toujours rien !
J'essaie ensuite de réciter une formule magique du genre : « Abracadabra, chien blanc viens à moi. » Cela ne marche pas ! Je perds patience, je décide donc d’aller voir un des robots humanoïdes pour m’informer et savoir comment rentrer chez moi. Je vais donc voir l’un d’eux pour lui demander :
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