Page 57 - Livre 20 Michel Joly
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Quand j’étais à une dizaine de mètres de la ligne d’arrivée, mon ennemi m’a poussé par terre pour gagner la course, mais ce qu’il ne savait pas, c’est qu’on n’est pas obligé de gagner la course en restant sur le vélo pour éviter de tricher. Je me suis levé avec mon vélo et j’ai couru le plus vite possible toujours avec le vélo, car j’en avais besoin pour gagner.
Heureusement, la personne qui m’a poussé s’est affaibli en faisant cela et il est devenu très lent. C’était le moment de le dépasser. J’ai réussi à le faire alors qu’il ne restait qu'un décimètre avant la fin de la course. J’ai gagné la course avec fierté et tout le monde m’a applaudi malgré le fait que je sois tombé.
Ensuite, j’ai soupé avec mon ami Antoine dans un restaurant près de la piste de course. Tout de suite après que nous ayons mangé, j’ai dit mes dernières salutations à Antoine, car il était tard et il fallait que je rentre chez moi. Quand je suis rentré à la maison, j’ai pris ma douche et je suis allé dormir. J’étais sur le point de dormir alors que je me remémorais tous les moments qui s’étaient déroulés. Pendant cette récapitulation, j’ai senti quelque chose de bizarre. J’ai vu tout le monde rigoler quand je pédalais au maximum, car en réalité, cette course était juste un canular...
Olivier Zijing Xie
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