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Politiques & institutions
et de 37 % pour les axes Atlantique et Sud-Est et de 49 % pour les axes Est. Et, paradoxalement, une plus faible baisse (19 %) pour les services grande vitesse à bas prix Ouigo. Alors que le recul de l’offre des services « Inter-Cités » atteint globalement 58 %, un recul qui est toutefois lié aussi aux change- ments structurels et de périmètres
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améliorée
moins circulé », constate le régu- lateur. Alors que les baisses de l‘of- fre et de la fréquentation consta- tées en France sont néanmoins comparables à celles qui affectent les autres réseaux ferrés euro- péens. En même temps, la part modale du rail a reculé de 2,5 points, passant de 10 % à 7,5 % puisque, durant la pandémie, l’uti- lisation de la voiture individuelle a été moins affectée que celle des transports collectifs.
En revanche, le tableau est relati- vement différent en ce qui
Cette crise inédite a permis
de mettre en lumière l’absolue nécessité des liaisons ferroviaires intérieures classiques.
de cette offre
Seul effet positif, si l’on peut dire, de cette situation, « la ponctualité des services s’est globalement
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concerne l’activité des trains régio- naux. Puisque « seules de 19 % à 30 % des circulations TER (qui ne totalisent que 13 % de l’offre pré- cédente, et 10 % de l’offre franci- lienne, ndlr.) ont été déprogram- mées en 2020 (selon les données des régions) indiquant un souhait de maintien des services en dépit de la crise sanitaire ». Et malgré une plus forte baisse de la fréquen- tation moyenne car celle-ci a glo- balement reculé de 36 % (45 % pour les trains Transilien et le RER), avec des disparités non négligea- bles entre les régions. Qui vont de -29% en Occitanie, et de -30% en Bretagne à - 43 % en Norman- dieouà-42%enSudProvence- Alpes-Côte-d’Azur. Avec, ici aussi, un fond général d’amélioration de
la ponctualité « très marqué en Oc- citanie, Sud Provence-Alpes-Côte- Azur et Auvergne-Rhône-Alpes », constate le rapport de l’ARF. Et des conséquences ambigües du côté
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grâce à un réseau
des résultats financiers Pourrait-on parler d’une sorte de « résilience » des TER face à la pandémie ? Dans ce cas, elle serait due essentiellement à ce qu’il est convenu d’appeler son « écosys- tème ». Qui est très marqué par le concours financier des Autorités Organisatrices de Transport, un concours qui s’est même accru en 2020 et cela dépit de la baisse gé- nérale de l’offre de transport.
Quand l’ouverture à la concurrence « va son train » Dans ce contexte de recul des tra-
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