Page 33 - Voyages et groupe N°11

Radioscopie
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de la Cité des Sciences et de l’In- dustrie (il fait 21,5 m de diamètre). A la deuxième place du podium sont ex-aequo le Planétarium de Bretagne à Pleumeur-Bodou (22), et celui de la Cité de l’Espace de Toulouse(2) (20 m de diamètre chacun). Sur la troisième marche : le Palais de l’Univers et des Sciences - le PLUS - à la Cap- pelle-la-Grande dans le Nord (15,5 m de diamètre).
De « nouveaux » planétariums
Selon les derniers chi res dis- ponibles, il y aurait environ 70 planétariums en France (et à peu près le même nombre en version itinérante). Ouverts pour la plu- part presque tous les jours, ils ont un même objectif : celui de faire connaître et de faire décou- vrir le ciel et l’espace de manière ludique et pédagogique. Parfois
poétique aussi. Et ce, à travers la projection d’un ou de plusieurs lms.
Si le dernier planétarium qui a vu le jour en France est, à notre connaissance, celui de l’Obser- vatoire du Pic du Midi (octobre 2016), la plupart ont été créés dans les années 80 à 2000. Et, ces derniers temps, quelques- uns d’entre eux se sont engagés dans des rénovations.
C’est le cas du planétarium ins- tallé au Paléospace l’Odyssée à Villers-sur-Mer (14), qui a rouvert ses portes en juin 2017, après deux années de travaux. Il a été o ciellement inauguré en octo- bre dernier. Il accueille 25 per- sonnes à la fois, installées sur des banquettes circulaires. Au programme : une immersion to- tale parmi les constellations, pla- nètes, nébuleuses. En quarante cinq minutes.
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Le Planetarium de Bretagne (22.)
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Le Planetarium de Reims (51).
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Le Planetarium de Rennes (35).
Le Planétarium de Bretagne, lui, dispose depuis n juin 2017 d’un
tout nouveau hall d’accueil, après deux mois et demi de travaux.
En cette année 2018, le site breton
se penchera sur la rénovation complète de la salle de projection.
Les travaux pourraient ainsi être engagés à l’horizon 2020-2021. C’est en juillet 2017 que la Cité
de l’Espace à Toulouse a accueilli
un tout nouveau dôme permettant
de simuler le ciel sur écran, via
un simulateur astronomique aux images vidéo de très haute dé - nition, soit en 8K. « Les images di usées sur le dôme écran de
600 m2 ont une résolution 24
fois supérieure aux images haute dé nition du home cinéma », précise le site toulousain. Ce der-
nier est, ainsi, venu rejoindre ceux de la Cité des Sciences et
de l’Industrie à Paris (ce même simulateur y a été installé en fé- >
VoyagES & groUpE 11 - FEvriEr 2018 - 33