Page 43 - ZigZag4_Dossier3_2017-05-16
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Elles discutaient de ce qui venait de se passer, quand Martine leva
                        les yeux. Horreur ! Une grosse branche était sur le point de se
                        détacher d’un arbre. En tombant, elle heurterait une vieille dame               heurter

                        qui attendait au coin de la rue.                                                Frapper.


                                                               Rapide comme l’éclair, Martine
                                                               s’élança sur la vieille dame.
                                                               Elles roulèrent ensemble sur             Par quel verbe
                                                               le côté. La grosse branche               peux-tu remplacer
                                                               se cassa et se fracassa sur              se fracassa ?

                                                               le trottoir.


                                                               — Heu… Merci, soupira la vieille dame,
                                                               encore tout étourdie. C’est bien la première
                                                               fois qu’une superhéroïne me sauve la vie.


                                                               Ensuite, aussi incroyable que cela puisse
                                                               paraître, les événements se précipitèrent.

                                                               Martine, toujours habillée en superhéroïne,
                                                               aida plusieurs personnes. Et chaque fois,
                                                               chaque fois, son amie Julie s’exclamait :


                                                               — Incroyable ! Bravo ! Formidable !


                        À la fin de l’après-midi, les deux filles décidèrent de rentrer à la maison.
                        Elles quittèrent le parc, marchèrent sur le trottoir et se retrouvèrent, encore
                        une fois, devant le gros sac qui traînait au pied de l’arbre. Martine enleva
                        l’habit de superhéros, le plia délicatement et le déposa dans le sac.


                        — Mais, qu’est-ce que tu fais ? demanda Julie, surprise. Tu ne veux plus être
                        une superhéroïne qui sauve les gens ?


                        — Mais oui, je veux encore sauver les gens, mais pour ça, je n’ai pas besoin

                        d’un habit de superhéros. Je n’ai qu’à ouvrir mon cœur.

                        Depuis ce jour, Martine est toujours attentive à ce qui se passe autour d’elle.

                        Elle sait maintenant que dans la vie, il y a toujours de bonnes occasions
                        d’aider les autres.





                                                                                                 Les superhéros  43





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